Wildgrounds a mis la main sur quelques précisions sur les DVD édités par Blaq Out des films de Koji Wakamatsu dont on avait déjà évoqué la sortie il y a quelques semaines. Blaq Out éditerait chez nous, en sus de United Red Army, pas moins de 14 films du cinéaste, tirés à partir de masters HD et bien entendu tous accompagnés de sous-titres français, une première pour certains titres jamais édités hors de l'archipel nippon.

- Secrets Behind The Wall (Kabe no naka no himegoto, 1965)
- The Embryo Hunts in Secret (Taiji ga mitsuryô suru toki, 1966)
- Violated Angels (Okasareta hakui, 1967)
- Go, Go Second Time Virgin (Yuke yuke nidome no shojo, 1969)
- Naked Bullet (Otoko goroshi onna goroshi : hadaka no zyudan, 1969)
- Violent Virgin (Gewalt! Gewalt : shojo geba-geba, 1969)
- Violence Without A Cause (Gendai sei hanzai zekkyo hen : riyu naki boko, 1969)
- Season of Terror (Gendai kosyokuden : teroru no kisetsu, 1969)
- Running in Madness, Dying in Love (Kyôsô jôshi-kô, 1969)
- Sex Jack (Seizoku, 1970)
- Shinjuku Mad (1970)
- The Woman Who Wanted To Die (1970)
- Ecstasy of Angels (Tenshi no kôkotsu, 1972)
- A Pool Without Water (Mizu no nai puuru, 1982)

Comme nous l'avions indiqué précédemment, le 6 octobre prochain sera édité un premier coffret (visuel ci-dessous) de quatre film comprenant Violated Angels, Secrets Behind the Wall, Go Go Second Time Virgin ainsi que Quand l'embryon part braconner qui d'après la Commission nationale de classifications des œuvres cinématographiques "enchaîne les scènes de grande violence, de torture et de sadisme et présente une image des êtres et entre les sexes fondée sur l'enfermement, l’humiliation et la domination de la femme", ce qui lui valu une sortie dans nos salles tamponnée d'une interdiction aux moins de 18 ans. Une classification justifiée qui - on le déplore énergiquement - limita sa carrière en salles, les exploitants étant trop frileux pour projeter un tel film.

Damien Odoul (L'histoire de Richard O.), Lucile Hadzihalilovic (Innocence), Marina de Van (Dans ma peau, Ne te retourne pas) et l'éminent cinéphile Jean-Pierre Bouyxou auraient répondu à l'appel pour présenter les films.