Image : 
              	
              	  4/20
              	
              
              
              Après les premières minutes manquant sérieusement de piqué et de constraste (voir première capture ci-dessous), l'image de Fini de rire reprend du poil de la bête pour s'avèrer finalement être une petite réussite. Caractérisé par des contrastes harmonieux et une définition précise, le transfert laisse apparaître quelques légers fourmillements par ci par là lors des séquences nocturnes, mais rien de réellement gênant.
 les premières minutes pas à la hauteur du reste du film en terme de transfert
les premières minutes pas à la hauteur du reste du film en terme de transfert




             les premières minutes pas à la hauteur du reste du film en terme de transfert
les premières minutes pas à la hauteur du reste du film en terme de transfert



              	Son : 
              	
              	  5/20
              	
              
              
              Seule piste sonore offerte, un mono 2.0 anglais honorable sans être renversant. Les voix ont beau être claires et précises, on regrette que la musique soit constamment reléguée au second plan (au point que l'on se demande si : 1/ le mixage original ne serait pas à blâmer ? 2/ la musique ne serait pas composée au mètre ?) et qu'un léger souffle nous suive tout au long du visionnage.

            
              	Bonus : 
              	
              	  5/20
              	
              
              
              Au lancement du disque, Serge Bromberg nous présente en quelque minutes Fini de Rire, rappelant que cette production Howard Hughes doit tout autant à John Farrow qu'à Richard Fleischer.

            
 FilmsActu.com
FilmsActu.com
      
	 "Ah, Mitchum... Il coule dans ses veines du sang indien et de l’alcool irlandais. Le regard est pointu mais fatigué, la fossette arrogante ; la voix profonde come un chagrin, lasse et désabusée, ébréchée à coeur par un demi-siècle de fureur alcoolique, subjugue les cinéphiles estudiantins et fait vibrer les femmes amoureuses de l’amour. Il marche comme personne. Il marche massif et félin. Il marche comme un taureau élastique, et court au ralenti dans
	  "Ah, Mitchum... Il coule dans ses veines du sang indien et de l’alcool irlandais. Le regard est pointu mais fatigué, la fossette arrogante ; la voix profonde come un chagrin, lasse et désabusée, ébréchée à coeur par un demi-siècle de fureur alcoolique, subjugue les cinéphiles estudiantins et fait vibrer les femmes amoureuses de l’amour. Il marche comme personne. Il marche massif et félin. Il marche comme un taureau élastique, et court au ralenti dans 
 
                      
                                 
                                 
                                 
                                 
  
       
              
              
              
              
               