Image :
4/20
Les Editions Montparnasse proposent un transfert d'honnête facture, peu d'artefact de pellicule n'étant à déplorer. Petite déception en revanche en ce qui concerne la gestion des contrastes, les noirs manquant sérieusement de profondeur.
Son :
5/20
En ce qui concerne l'unique piste audio proposée (un mono 2.0 anglais), il n'y a pas grand chose à redire : les voix sont claires et précises sans qu'aucun souffle ne vienne perturber le visionnage.
Bonus :
4/20
En introduction, l'incontournable Serge Bromberg ne s'étend que très peu sur Primrose Path même pour s'intéresser à la dernière star de la RKO, Ginger Rogers, qui à l'époque était tout autant à son aise face à Fred Astaire dans des comédies musicales, devenues aujourd'hui mythiques, que dans des rôles plus dramatiques "d'artistes sans le sou ou de modeste employée".