Le Dernier Mercenaire 2 : une suite sur Netflix pour Jean-Claude Van Damme ?
Le 01/08/2021 à 21:35Par Henry Swanson
Alors que Le Dernier Mercenaire avec Jean-Claude Van Damme, Alban Ivanov, Eric Judor est entré directement dans le Top 3 des programmes les plus populaires de Netflix, on peut de demander si une suite de la comédie d'action de David Charhon est possible.
On a posé la question au réalisateur accompagné d'Alban Ivanov.
Le Dernier Mercenaire pourrait-il avoir une suite ?
David : Si cela fonctionne, oui. Je ne peux parler que pour moi mais l’envie de faire une suite est là, avec ce cast, avec Jean-Claude. Mais la décision ne nous appartient pas. A Netflix non plus. C’est au public de décider. Mais oui on y retournera avec plaisir. C’était une aventure géniale. Cela a été un film difficile à faire mais j’ai adoré ce tournage. J’ai tendance à imaginer une franchise. La fin du film montre la naissance d’une équipe et ouvre une porte à une suite. C’est ce que j’avais déjà sur L’autre côté du périph et on fait une suite. S’il y a une franchise, on sera là. D’ailleurs il y a une scène post-générique.
interview vidéo Jean-Claude Van Damme/Le Dernier Mercenaire.
Qu’est ce que Van Damme représente pour vous ?
David : C’est une icône du cinéma d’action. Je le mets au même niveau que Stallone et Schwarzy même s’il n’a pas eu la chance d’avoir des franchises comme les leurs. Mais il a ce talent, loin devant Chuck Norris ou Steven Seagal. C’est une icône du cinéma d’action. Bloodsport, c’est comme Rocky, c’est un film de compétition avec tous les codes de l’époque. Je reste super fan. Puis Van Damme a une personnalité qui dépasse tout ça.
David : C’est une icône du cinéma d’action. Je le mets au même niveau que Stallone et Schwarzy même s’il n’a pas eu la chance d’avoir des franchises comme les leurs. Mais il a ce talent, loin devant Chuck Norris ou Steven Seagal. C’est une icône du cinéma d’action. Bloodsport, c’est comme Rocky, c’est un film de compétition avec tous les codes de l’époque. Je reste super fan. Puis Van Damme a une personnalité qui dépasse tout ça.
Vous pensez que Van Damme est sous estimé ? En France, on rigole beaucoup de sa façon de parler, de ses répliques.
David : Il est sous estimé en France. Peut-être aussi un peu en Belgique. Nul n’est prophète dans son pays. Quand j’ai parlé du Dernier Mercenaire avec des journalistes intrenationaux, vu que le film sort dans le monde entier, j’ai eu confirmation qu'il ’est une star, une icône. En France oui il y a les vidéos d’interview télés, le aware et ce genre de truc. Mais à part chez nous, personne n’en parle. A l’international, ils ne connaissent pas ces vidéos. Ils connaissent Van Damme uniquement via ses films. Pour être très honnête, au départ personne ne voulait du Dernier Mercenaire. On a fait le tour de tous les guichets, et on nous disait «Van Damme, non ». A l’étranger, c’est juste une icône des années 80 et 90 au même titre qu’un Stallone.
Alban : Le côté aware, ce n’est pas ce qui nous intéressait. Le mec, c’est un bête d’acteur. C’est ce que l’on a voulu lui faire comprendre dès le début. On était pas là pour rigoler de Jean-Claude Van Damme. Ca c’est pour ceux qui regardent la télé. Nous, on était là pour travailler avec le mec et l’acteur. C’est ce qu’il a vu chez nous. Il a compris notre sincérité.
David : Et ça l’a beaucoup touché.
David : Il est sous estimé en France. Peut-être aussi un peu en Belgique. Nul n’est prophète dans son pays. Quand j’ai parlé du Dernier Mercenaire avec des journalistes intrenationaux, vu que le film sort dans le monde entier, j’ai eu confirmation qu'il ’est une star, une icône. En France oui il y a les vidéos d’interview télés, le aware et ce genre de truc. Mais à part chez nous, personne n’en parle. A l’international, ils ne connaissent pas ces vidéos. Ils connaissent Van Damme uniquement via ses films. Pour être très honnête, au départ personne ne voulait du Dernier Mercenaire. On a fait le tour de tous les guichets, et on nous disait «Van Damme, non ». A l’étranger, c’est juste une icône des années 80 et 90 au même titre qu’un Stallone.
Alban : Le côté aware, ce n’est pas ce qui nous intéressait. Le mec, c’est un bête d’acteur. C’est ce que l’on a voulu lui faire comprendre dès le début. On était pas là pour rigoler de Jean-Claude Van Damme. Ca c’est pour ceux qui regardent la télé. Nous, on était là pour travailler avec le mec et l’acteur. C’est ce qu’il a vu chez nous. Il a compris notre sincérité.
David : Et ça l’a beaucoup touché.