Maléfique 2, Angelina Jolie, Disney, les pièges d'une suite, Elle Fanning : interview

Maléfique 2 aka Maléfique Le Pouvoir du Mal est dans nos salles depuis le 16 octobre. Angelina Jolie a retrouvé ses cornes, ses ailes et ses fées face à Elle Fanning en Aurore tandis qu'une nouvelle menace incarnée par Michelle Pfeiffer menace le royaume.



La sortie de suite signée Joachim Ronning (Pirates des Caraïbes 5) a été l'occasion pour nous de rencontrer ses acteurs, Elle Fanning, Chiwetel Ejiofor (qui a doublé Scar dans la version originale du Roi Lion), Ed Skrein (vu dans Game of Thrones dans le rôle de Daario Naharis) et Harris Dickinson afin d'évoquer les difficultés autour d'une telle suite.

Voici un résumé en vidéo suivi d'un complément de questions au réalisateur Joachim Ronning 



Questions complémentaires au réalisateur Joachim Ronning

Quel est le plus gros challenge quand on fait une suite ?
Joachim Ronning : J'adore faire des suites ! Il y a plusieurs raisons à celà. Ce qui est génial, c'est qu'on peut voir ce qui fonctionne, je peux choisir les choses que j'ai aimées des premiers films et les développer dans le chapitre suivant. Ce qui m'a plu dans Maléfique, c'est le côté très émouvant, la relation entre Maléfique et Aurore, ce côté mère-fille. Je suis père donc j'ai pu m'identifier. C'était l'une des choses que je voulais explorer plus en profondeur dans cette histoire. Mais c'est aussi un grand spectacle, il y a des batailles. Mais au final, si vous ne vous attachez pas aux personnages, ça ne sert à rien.

Quelle liberté Disney vous a donné ?
J'ai eu beaucoup de chance, j'ai une très bonne relation avec Disney et les producteurs dont Angelina Jolie. On a passé des mois à travailler sur le script avec elle et les scénaristes. C'est une vraie collaboration. Personne ne m'a dit : "Non, tu ne peux pas faire ça". On allait tous dans la même direction. Au final, c'est la meilleure idée qui l'emporte. C'est un gros film donc il y a de grosses responsabilités.

Questions à Elle Fanning



(propos recueillis par Aubéry Mallet / PureBreak)