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Test DVD : Cléopâtre - Collector 3 DVD

Le 09/11/2007 à 08:05
Par
Test DVD Cléopâtre - Collector

Cette superbe édition triple dvd du Cléopâtre de Joseph L. Mankiewicz avec Elizabeth Taylor dans le rôle titre vaut notamment le détour pour le documentaire étonnant de Kevin Burns et Brent Zacky d'une durée de 120 minutes figurant sur le troisième disque et retraçant l'incroyable épopée du film.

 

Cléopâtre, film de tous les excès et chef d'oeuvre maudit. Maudit car le mythe est pour beaucoup de spectateurs plus connu voire plus passionnant que le film lui-même. A l'époque le film avait été jugé lourd, étouffant et bavard. Aujourd'hui on admire le culot du réalisateur qui au lieu de privilégier l'action et les scènes de batailles s'est majeurement concentré sur la complexité des personnages faisant la force de ce drame intimiste. L'ampleur de la mise en scène n'étant qu'un subterfuge pour ne retenir que les dialogues, admirablement écrits, et ressentir la dimension humaine de cette histoire dense et implacable. Elizabeth Taylor, l'actrice aux yeux de velours, demeurera dans les rétines comme LA Cléopâtre la plus éblouissante et sensuelle qu'il nous ait été donné de voir. Le film de Mankiewicz est une merveille cinématographique d'une suprême élégance, à la fois faste et intimiste qui plonge le spectateur dans l'antiquité durant 4 heures sans voir le temps passer.

Decouvrez le Test DVD de Cléopâtre - Collector.







Image : 9/20

Déjà sorti en édition prestige en 2005, Cléopâtre 3 DVD parait ce mois-ci dans la collection « cinéma référence » de Fox. Le master est le même et toujours aussi éclatant ! Il y a tant à dire sur l'image d'un tel film, aussi époustouflant et épique, souvent considéré comme étant l'un des derniers grands films de l'âge d'or d'Hollywood. En clair, le film de Mankiewicz nous en met plein la vue et aucun élément de mise en scène n'est laissé au hasard. Le générique annonce déjà la couleur : griffures et autres poussières ont été laissées au vestiaire. Même les quelques rares artéfacts qui apparaissent sur la pellicule ne viennent jamais entraver une restauration tout bonnement splendide.

 

Cléopâtre

 

Cléopâtre

 

Cléopâtre

 

Il n'y a rien à redire sur les scènes d'intérieur qui surpassent de loin les scènes d'extérieur par l'éclat des couleurs. La collection de costumes portés par Cléopâtre (qui se change quasiment à chaque plan ou presque...) est illustre et ils se trouvent être parfaitement saturés. De même pour les armures cuivrées de César et de son bataillon. Dans les extérieurs, l'image pêche parfois par un manque de luminosité et de piqué, vite rattrapé par la grandiloquence des scènes de foule (l'arrivée de Cléopâtre sur le sol romain est à couper le souffle) ayant nécessité des milliers de figurant. La précision des visages alliée à une remarquable profondeur de champ nous font mieux encore apprécier ses scènes et par la même occasion le Scope. Les costumes brillent et le ciel bleu aussi. Les séquences nocturnes se font rares mais s'accompagnent d'une palette colorimétrique parfaitement équilibrée. L'étalonnage est une réussite et le film aussi.

 

Cléopâtre

 

Cléopâtre

 


Son : 6/20

Sur un plan sonore, on ressent comme une légère déception. Non pas que les deux pistes Dolby Digital 5.1 soient mauvaises mais on a comme l'impression d'avoir à faire à un très bon mono 2.0 déguisé en 5.1. En effet, c'est au niveau des canaux arrières que cela coince. Les surrounds sont timides et usés avec parcimonie et le subwoofer n'est quasiment pas mis à contribution. Un peu chiche donc pour un film de ce calibre. Certes le film de Mankiewicz privilégie l'aspect psychologique de l'histoire, le réalisateur se focalisant plus sur les personnages donc sur les dialogues que sur le reste. Les belles confrontations entre Cléopâtre et César puis Cléopâtre et Marc-Antoine sont à ce propos parfaitement spatialisées sur les enceintes frontales. Et lorsque les quelques séquences de bataille font leur apparition le son se répercute une fois encore sur les avants au détriment des arrières. Celles-ci ne sont donc mises à profit qu'à de rares moments (ambiances de foule à Alexandrie).

 

Cléopâtre

 

Le mixage français est plus décevant encore pour deux raisons. La première est qu'il est un poil moins réussi  (surround arrières pour le coup inexistants, léger souffle permanent). La deuxième raison est que le mixage bénéficie de deux doublages différents qui appauvrissent la qualité d'ensemble : l'un (d'époque -le plus réussi-) pour la version cinéma et l'autre pour les  scènes inédites (à titres d'exemple, la scène lorsque Cléopâtre découvre que Marc-Antoine n'est pas mort au combat et la scène finale lorsqu'Octave demande à Cléopâtre de l'accompagner à Rome) rajoutées pour le dvd et dont le montage final atteint les 4 heures. Cléopâtre et les autres personnages du film ont donc deux voix. Le second doublage est peu crédible et sonne faux.

 

Cléopâtre

 

Préférez donc la piste anglaise ne serait-ce que pour apprécier la qualité de jeu du trio Elizabeth Taylor, Richard Burton et Rex Harrison.


Bonus : 10/20
DVD 1

 

Le film est présenté sur deux disques dans sa version inédite de 4 heures.

Première partie : 114 minutes.

 

Commentaires audio de Jack Brodsky, Martin Landau, Chris et Tom Mankiewicz (vostf)

Sur ce premier disque interviennent Martin Landau durant 1h27 seul puis Tom Mankiewicz durant la dernière demi-heure. Comme sur le second disque, les commentaires débutent au bout de trois à quatre minutes. Martin Landau indique d'emblée qu'il a une très bonne mémoire et qu'il se souvient absolument de tout. En écoutant ce commentaire, le moins que l'on puisse dire c'est que l'acteur ne ment pas. Très à l'aise dans l'exercice, sans langue de bois et toujours concis, Martin Landau aide les spectateurs à replacer le film dans son contexte, évoque le tournage chaotique, le fait que beaucoup de ses scènes soient passées (comme d'autres de ses collègues) à la trappe et de ce fait parle de ses scènes coupées. Comme le feront les trois autres intervenants du commentaire, le tournage en Italie dans les studios de Cinecittà est passé en revue, le retournage de quelques scènes (supervisées par le chef opérateur Claude Renoir, Leon Shamroy indisponible à ce moment) en Espagne 6 mois après le clap supposé de « fin » en raison des coupes voulues par Zanuck et nécessaires à la dramaturgie. Enregistrés à part, les protagonistes évoquent évidemment les mêmes anecdotes comme le désir initial de Mankiewicz de réaliser deux films distincts accessibles avec un seul et même ticket, projet refusé par Zanuck. On apprend que Mankiewicz avait repéré Landau dans La Mort aux trousses et qu'un seul coup de fil à Hitchcock a suffi au cinéaste pour savoir que l'acteur serait parfait pour le rôle de Rufio.

 

Cléopâtre

 

Tom Mankiewicz, fils du réalisateur, se remémore ses débuts en tant que deuxième assistant-réalisateur (18 ans à l'époque), son travail auprès de son père et son frère, lui-même deuxième assistant, qu'il appréhendait énormément. Mankiewicz se souvient de son père, fatigué, tentant de contrôler un film totalement incontrôlable grâce entre autre à des vitamines et drogues injectées. Pour l'anecdote, fasciné par Liz Taylor, Mankiewicz explique être sorti avec sa doublure, lui ressemblant à tel point que les paparazzi les poursuivaient dans les rues de Rome quand ils sortaient le soir !  Sont ensuite passés au peigne fin la logistique, la barrière des langues, le casting avec bien entendu la liaison Richard Burton et Elizabeth Taylor, le salaire historique de la star, les aléas du tournage, les costumes, les décors, le premier tournage à Londres par Rouben Mamoulian (le premier réalisateur envisagé), la relation des acteurs avec le réalisateur, le tournage de l'entrée dans Rome de Cléopâtre.

 

DVD 2

 

Deuxième partie : 126 minutes

 

Suite du commentaire audio

Suite des commentaires de Tom Mankiewicz qui recommence à parler du tournage de Rouben Mamoulian à Londres et de son licenciement. S'étant lié d'amitié avec Martin Landau, Mankiewicz raconte que Fellini allait débuter le tournage de 8 ½ et qu'il le voulait absolument pour incarner le frère de Marcello Mastroianni. Seulement Joseph Mankiewicz ayant besoin de l'acteur à n'importe quel moment (le scénario étant écrit au fur et à mesure) ne pouvait le lui « prêter » entre les prises. Cela reste et on peut le comprendre, une des plus grandes frustrations de tournage de Martin Landau. Au bout de treize minutes de commentaire, Tom Mankiewicz est remplacé par son frère Christopher Mankiewicz. Assistant de son père, les anecdotes que nous confie l'intéressé ressemblent à celles racontées par son frère. C'est pour cela qu'on regrette que les quatre hommes n'aient pas enregistré le commentaire en commun, ainsi aurions-nous gagné en anecdotes et évité la redondance de nombreux propos. Chris Mankiewicz s'attarde peut-être un peu plus sur le travail de son père et de sa direction d'acteurs. Au bout d'1h05, Martin Landau paraphrase plus qu'il ne commente la scène de la bataille navale et il est à déplorer quelques blancs durant un bon quart d'heure. Vers 1h17, Jack Brodsky, attaché de presse de Cléopâtre de la fin de l'année 1961 au printemps 1962 et dernier intervenant, prend le micro pour la partie dite « people » du commentaire. A savoir répondre aux attentes des spectateurs avides d'en savoir un peu plus sur la liaison scandaleuse de Richard Burton d'avec Elizabeth Taylor. On y évoque une Liz Taylor, certes magnifique mais peu raffinée et surtout vulgaire, la course au scoop des paparazzi et quelques propos de Burton : « Je suis étonné de voir la proportion que prend cette amourette... j'ai pourtant déjà couché avec toutes mes partenaires... sauf peut-être Julie Andrews. » Jack Brodsky passe en revue la santé fragile de Liz Taylor et son livre (un recueil de correspondances) sorti durant la promotion du film, The Cleopatra Papers, qui suscita un parfum de scandale car racontant les dessous du tournage...

 

Cléopâtre

 

Le mot de la fin revient à Tom Mankiewicz qui avoue le désarroi quant aux coupes ayant dénaturé l'œuvre originale de son père et l'espoir de voir un jour le film dans son intégralité.

Dans l'ensemble, beaucoup de ce qui est dit est entendu dans le documentaire présent sur le disque 3 mais quelques anecdotes inédites viennent enrichir l'ensemble, surtout venant de la part de Martin Landau, que l'on peut considérer comme la meilleure partie du commentaire.

 

DVD 3

 

Cléopâtre, le film qui changea Hollywood (119 min) : documentaire réalisé en 2000

Cet extraordinaire documentaire consacré à l'histoire du tournage de Cléopâtre est une véritable mine d'or d'informations narrée par l'acteur Robert Culp. Il fallait bien deux heures pour raconter toutes les péripéties survenues lors du (des) tournage(s), probablement un des meilleurs films documentaires jamais réalisé. Le seul hic est de ne pas avoir proposé de chapitrage...

Formidablement documenté (photos de tournage à foison, images inédites du tournage et des quelques minutes du film de Rouben Mamoulian tourné en Angleterre dans des décors plus cheap, scènes laissées sur le banc de montage de Mankiewicz, images des coulisses, extraits des infos d'époque -la signature du contrat de Liz Taylor-, screen tests de Rex Harrison et de Joan Collins en 1959, première actrice pressentie, dessins conceptuels et de production...), vous saurez absolument tout ce qu'il y à savoir sur le tournage mythique du film qui mit fin à l'âge d'or d'Hollywood. La réalité est parfois aussi fascinante et tragique que la fiction : ce film, loin de tous les documentaires promotionnels, ne fait pas dans la langue de bois. Les trahisons, les démêlés, les coups bas sont dévoilés au grand jour par les fils de Mankiewicz (Chris et Tom), le fils de Rex Harrison, des historiens du cinéma, des journalistes, des acteurs du film (Martin Landau, Hume Cronyn, Roddy McDowall, Keith Baxter -qui devait jouer dans le Cléopâtre de Mamoulian-) des biographes, des publicitaires et des archivistes.

 

Cléopâtre

 

Cléopâtre

Joseph L. Mankiewicz

 

Dates clé du tournage de Cléopâtre

 

Le mythique studio Fox veut mettre en chantier un film de grande envergure, un film à grand spectacle... ce sera Cléopâtre, un remake du film réalisé en 1917 par J.Gordon Edwards avec Theda Bara. Elizabeth Taylor est choisie pour incarner la reine d'Egypte (contre un petit chèque d'un million de dollars) et celle-ci impose rapidement de multiples conditions notamment le souhait de tourner à l'étranger. Le studio se demande d'ores et déjà s'ils ont fait le bon choix et si l'actrice attirera les foules dans les salles... d'autant plus que la santé de Miss Taylor est très fragile. Le choix du réalisateur se porte sur Rouben Mamoulian. Bien que n'ayant jamais réalisé de film à grand spectacle, le studio lui fait entièrement confiance.

Le 28 septembre 1960, le premier jour de tournage de Rouben Mamoulian s'avère être un désastre. La météo fait des caprices et la santé dégradante d'Elizabeth Taylor la portent hors du plateau pendant quelque temps. Le tournage reprend sans l'actrice, seulement il n'y a que très peu de scènes à tourner sans elle et Mamoulian ne trouve rapidement plus rien à tourner. Chaque jour de plus est une perte de temps et fait exploser le budget déjà colossal du film.

Le 18 novembre 1960, le tournage est interrompu car on ne peut plus tourner sans l'actrice. Que faire ? Mamoulian révise son scénario et le modifie. Un mois plus tard, alors que Liz Taylor est revenue, la tension monte chez les acteurs qui jugent le scénario de Mamoulian épouvantable. Le réalisateur pose alors un ultimatum à la Fox. Il défend son scénario et les menace de partir en donnant sa démission. Liz Taylor ordonne carrément au studio d'accepter la démission de Mamoulian qui est congédié le 18 janvier 1961.

Cléopâtre a déjà coûté 7 millions de dollars (environ 70 millions de dollars actuels), 16 semaines de tournage sont parties en fumée et seulement 10 minutes de film sont utilisables... Néanmoins, la Fox ne renonce pas et se doit de trouver un nouveau réalisateur. Liz Taylor imposera le nom de Joseph L.Mankiewicz (All about Eve) avec qui elle avait tourné entre autre Soudain l'été dernier (1960). Entre temps l'actrice fait une rechute et le nouveau réalisateur n'a d'autre choix que de réécrire le scénario en attendant la fin de sa convalescence. Les décors sont détruits dans leur intégralité et l'équipe de tournage déménage à Rome, s'installant dans les studios de Cinecittà où le climat est plus chaud. Le casting est complété par deux stars, Rex Harrison et Richard Burton, et Martin Landau, George Cole, Roddy McDowall... Des figurants et techniciens traînent sans rien faire, des vedettes attendent... ils seront payés des mois sans travailler. La scène qui s'annonce déjà comme étant la plus impressionnante du film est prête à être tournée : l'arrivée à Rome de Cléopâtre, perchée à 9 mètres de haut sur son char en forme de Sphinx. Chaque détail est passé au peigne fin, jamais une séquence n'aura été aussi complexe à préparer. La production se déplace ensuite en Egypte pour les scènes de bataille. En Italie, Elizabeth Taylor et Richard Burton ne peuvent cacher leur liaison plus longtemps et le couple devient la proie des paparazzi, les photos abondant dans les journaux à scandale de toute la pénincule.

 

Cléopâtre

 

Le clap de fin est donné le 24 février 1962. Mankiewicz peut alors s'isoler afin de s'atteler au montage du film. Le cinéaste désire scinder l'histoire en deux films. Deux grandes épopées de trois heures avec dans une première partie « César et Cléopâtre » puis dans la seconde « Antoine et Cléopâtre ». Cet ambitieux projet est refusé par la Fox et Mankiewicz reçoit l'ordre de fusionner les deux films voulus au préalable. La raison de ce refus est évidemment d'ordre financier (car le studio a déjà perdu beaucoup d'argent). Si le montage originel durait 6 heures, 2 heures seront coupées.

Pour son exploitation en salle, Cléopâtre est présenté dans une version de 3h15. Mankiewicz reniera toujours le film, charcuté par les producteurs. Le public, conquis et admiratif du spectacle mais ignorant les scènes manquantes, appréciera le film.

Le 13 avril 1964, le film reçoit quatre Oscars : meilleure direction artistique, photographie, costumes et effets spéciaux.

 

Cet extraordinaire documentaire se clôt sur la restauration du film en 1995. Des images inédites et tirées des répétitions viennent illustrer le générique de fin qui se clôt sur un clin d'œil ravageur d'Elizabeth Taylor.

 

Cléopâtre

 

La Quatrième star (9min09) : documentaire de 1963
Ce second documentaire qui plonge dans les coulisses des studios de Cinecittà est un parfait complément au documentaire de deux heures. Il y montre des images de tournage, des dessins de production, la création des costumes, le maquillage des figurants, la construction des décors en Italie, les répétitions de l'entrée dans Rome de Cléopâtre, les figurants qui attendent... La Quatrième star, comme nous l'indique le documentaire, est la production elle-même.

 

Cléopâtre

 

Archives movie Tone et bandes-annonces cinéma

a) Archives Movie Tone : Première projection sur la côte est (New-York) (3'55)

Document en noir et blanc sur le tapis rouge menant à la première projection du film. 10 000 new-yorkais frénétiques se sont amassés sur Broadway afin d'apercevoir le gratin venu pour l'occasion. Rex Harrison, Roddy McDowall, Joseph L.Mankiewicz et son épouse, Joan Fontaine, Red Buttons, Paul Anka, Darryl F.Zanuck... Seuls Richard Burton et Liz Taylor manquent à l'appel.

 

b) Archives Movie Tone : premier programme sur la côte ouest (Hollywood) (2'24)

Toujours pas d'images de Liz Taylor et Richard Burton. On prend les mêmes et on recommence !

 

c) Trois bandes-annonces cinéma en version originale non sous-titrée (4'40, 44 secondes et 4'39) puis 3 bandes-annonces de lancement en anglais, en français et en portugais (58 secondes chacune) où un rouleau annonce l'événement cinématographique ultime aux spectateurs à qui l'on conseille de réserver la place le plus tôt possible.

 

Cléopâtre

 

Galerie d'images

a) Recherche et conception des costumes (85 dessins et photos conceptuels où on peut apercevoir l'acteur Stephen Boyd alors choisi par Mamoulian pour incarner Marc-Antoine)

b) Aperçu du matériel publicitaire des premières projections (85 affiches, photos et autres produits dérivés)

c) Aperçu du programme original (livret de presse)

d) 8 photos d'exploitation anglaises

e) 4 visuels d'affiches divers et un poster japonais

 

A signaler enfin la présence dans le coffret d'un livret en forme de pyramide regroupant des notes de production déjà entendues dans les suppléments.

 


Cleopatre
Cleopatre
Sortie : 10 Octobre 2007
Éditeur : Fox Home Entertainment

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