Image :
4/20
Soyons clair, la seule qualité du transfert est sa gestion des contrastes qui magnifie ce noir et blanc que l'on doit à Nicholas Musuraca (chef op' entre autres sur La Féline de Tourneur). A côté de cela, l'image manque de définition et est parfois victime de tremblements désagréables, certes pas rédhibitoire (on s'y habitue finalement assez vite), mais qui ne feront sans doute pas de cette édition une édition de référence.
Son :
5/20
A l'instar de l'image, la bande son n'a visiblement pas fait l'objet d'une restauration, quelques plops se faisant encore entendre. Rassurons-nous, les voix sont claires, rarement saturées et se marient parfaitement avec la musique sans que cette dernière ne soit reléguée au second plan.
Bonus :
5/20
L'érudit Serge Bromberg revient longuement sur le réalisateur Dick Powell, ayant commencé une carrière d'acteur (la vedette de C'est arrivé demain) et de chanteur avant de passer à la réalisation.