Pour ceux qui possèdent l'édition collector sortie en 2003, il est question ici du même master. Il s'agit donc pour l'éditeur de remettre en avant un des titres référence de son catalogue par le biais de sa collection « cinéma référence », et par la même occasion de célébrer les 30 bougies du film. En quatre ans, le master n'a pas pris une ride et demeure toujours aussi appréciable, le plus gros du travail ayant été d'éliminer les artéfacts de pellicule. Celui-ci ayant été respecté dans son ensemble, quelques légères anomalies demeurent, comme certaines tâches blanches apparaissant de temps à autre sur la pellicule. Des arrière-plans manquent également de netteté notamment au début du film et certaines séquences (on pense aux explosions et au parachutage des soldats) comportent une forte dose de granulation. Autrement, le point fort de l'image n'est autre que la palette colorimétrique qui rend parfaitement l'esprit brut du film. Geoffrey Unsworth, chef opérateur historique de 2001, l'odyssée de l'espace et de Superman I et II (partie réalisée par Donner), nous livre une photographie mémorable. Cet artiste de l'image a su tout au long de sa carrière imposer un style inimitable (léger voile sur l'image).
Pour ceux qui possèdent l'édition collector sortie en 2003, il est question ici du même master. Il s'agit donc pour l'éditeur de remettre en avant un des titres référence de son catalogue par le biais de sa collection « cinéma référence », et par la même occasion de célébrer les 30 bougies du film. En quatre ans, le master n'a pas pris une ride et demeure toujours aussi appréciable, le plus gros du travail ayant été d'éliminer les artéfacts de pellicule. Celui-ci ayant été respecté dans son ensemble, quelques légères anomalies demeurent, comme certaines tâches blanches apparaissant de temps à autre sur la pellicule. Des arrière-plans manquent également de netteté notamment au début du film et certaines séquences (on pense aux explosions et au parachutage des soldats) comportent une forte dose de granulation. Autrement, le point fort de l'image n'est autre que la palette colorimétrique qui rend parfaitement l'esprit brut du film. Geoffrey Unsworth, chef opérateur historique de 2001, l'odyssée de l'espace et de Superman I et II (partie réalisée par Donner), nous livre une photographie mémorable. Cet artiste de l'image a su tout au long de sa carrière imposer un style inimitable (léger voile sur l'image).
Pour ceux qui possèdent l'édition collector sortie en 2003, il est question ici du même master. Il s'agit donc pour l'éditeur de remettre en avant un des titres référence de son catalogue par le biais de sa collection « cinéma référence », et par la même occasion de célébrer les 30 bougies du film. En quatre ans, le master n'a pas pris une ride et demeure toujours aussi appréciable, le plus gros du travail ayant été d'éliminer les artéfacts de pellicule. Celui-ci ayant été respecté dans son ensemble, quelques légères anomalies demeurent, comme certaines tâches blanches apparaissant de temps à autre sur la pellicule. Des arrière-plans manquent également de netteté notamment au début du film et certaines séquences (on pense aux explosions et au parachutage des soldats) comportent une forte dose de granulation. Autrement, le point fort de l'image n'est autre que la palette colorimétrique qui rend parfaitement l'esprit brut du film. Geoffrey Unsworth, chef opérateur historique de 2001, l'odyssée de l'espace et de Superman I et II (partie réalisée par Donner), nous livre une photographie mémorable. Cet artiste de l'image a su tout au long de sa carrière imposer un style inimitable (léger voile sur l'image).