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8/20
Pour les 40 ans du festival, Warner a mis les petits plats dans les grands et offre au film de Michael Wadleigh une édition 4 DVD comprenant près de 5 heures de suppléments ainsi qu'un livret de 60 pages reprenant le dossier (en anglais) de commémoration du festival par Life Magazine.
On passera rapidement sur Le Musée de Bethel Woods du disque 1, publicité à peine déguisée pour le musée entièrement consacré au festival, et on se dirigera directement vers les suppléments des disques 3 et 4.
DVD 3 : Woodstock - Histoires inédites
Y sont proposées pas moins de trois heures de performances musicales non retenues dans le montage final. On retiendra surtout les prestations des Creedence Clearwater Revival, grands absents du film (et plus particulièrement la reprise de I've Put a Spell on You de Screamin' Jay Hawkins), avec les Grateful Dead (dont on trouvera ici leur Turn On Your Love Light) ainsi que Moutain, Johnny Winter et Paul Butterfield. A leurs côtés, The Who offrent leur mythique My Generation, tandis que Canned Heat offrent un I'm Her Man et un On the Road Again de haute volée.
DVD 4 : Woodstock - Du Festival au Film
Ce quatrième et dernier disque propose quant à lui Du Festival au Film, un module d'une heure d'interviews retraçant l'histoire du festival au tournage du film, de sa création à sa réalisation. Pour parler de ce module composé d'une vingtaine de petites featurettes de quelques minutes, Michael Wadleigh, les producteurs Fred Weintraub et Dale Bell, Michael Lang (l'un des co-organisateurs du festival - photo ci-dessous), la monteuse Thelma Schoonmaker et son assistant d'alors Martin Scorsese se succèdent pour évoquer les difficultés rencontrées et surmontées par une équipe de caméramen et d'ingé son surmotivés, les divergences de points de vue entre le réalisateur et Warner sur la durée et le contenu du film ainsi que la réception critique à la sortie, quasiment tous les aspects de la production sont abordés.
On reste cependant sur sa faim, une certaine impression de survol dominant tout du long du doc. Comme si les intervenants (ou le réalisateur du doc) cherchaient à écrire la légende du film, étouffant par là même les aspects les moins glorieux. A l'instar du film d'ailleurs qui cache deux décès survenus pendant le festival (un d'une overdose d'héroïne, l'autre écrasé par un tracteur alors qu'il dormait dans un champ) pour appuyer l'idée que les trois jours de ce festival autogéré qui a rassemblé près d'un demi-million de personnes se sont déroulés sans encombre.
Deux autres modules complètent le disque : Zoom sur la communauté de Hig Farm (qui s'occupait du ravitaillement du festival, offrant même des repas aux festivaliers) ainsi qu'une interview de Michael Wadleigh par Hugh Hefner dans son émission Playboy After Dark.
On passera rapidement sur Le Musée de Bethel Woods du disque 1, publicité à peine déguisée pour le musée entièrement consacré au festival, et on se dirigera directement vers les suppléments des disques 3 et 4.
DVD 3 : Woodstock - Histoires inédites
Y sont proposées pas moins de trois heures de performances musicales non retenues dans le montage final. On retiendra surtout les prestations des Creedence Clearwater Revival, grands absents du film (et plus particulièrement la reprise de I've Put a Spell on You de Screamin' Jay Hawkins), avec les Grateful Dead (dont on trouvera ici leur Turn On Your Love Light) ainsi que Moutain, Johnny Winter et Paul Butterfield. A leurs côtés, The Who offrent leur mythique My Generation, tandis que Canned Heat offrent un I'm Her Man et un On the Road Again de haute volée.
DVD 4 : Woodstock - Du Festival au Film
Ce quatrième et dernier disque propose quant à lui Du Festival au Film, un module d'une heure d'interviews retraçant l'histoire du festival au tournage du film, de sa création à sa réalisation. Pour parler de ce module composé d'une vingtaine de petites featurettes de quelques minutes, Michael Wadleigh, les producteurs Fred Weintraub et Dale Bell, Michael Lang (l'un des co-organisateurs du festival - photo ci-dessous), la monteuse Thelma Schoonmaker et son assistant d'alors Martin Scorsese se succèdent pour évoquer les difficultés rencontrées et surmontées par une équipe de caméramen et d'ingé son surmotivés, les divergences de points de vue entre le réalisateur et Warner sur la durée et le contenu du film ainsi que la réception critique à la sortie, quasiment tous les aspects de la production sont abordés.
On reste cependant sur sa faim, une certaine impression de survol dominant tout du long du doc. Comme si les intervenants (ou le réalisateur du doc) cherchaient à écrire la légende du film, étouffant par là même les aspects les moins glorieux. A l'instar du film d'ailleurs qui cache deux décès survenus pendant le festival (un d'une overdose d'héroïne, l'autre écrasé par un tracteur alors qu'il dormait dans un champ) pour appuyer l'idée que les trois jours de ce festival autogéré qui a rassemblé près d'un demi-million de personnes se sont déroulés sans encombre.
Deux autres modules complètent le disque : Zoom sur la communauté de Hig Farm (qui s'occupait du ravitaillement du festival, offrant même des repas aux festivaliers) ainsi qu'une interview de Michael Wadleigh par Hugh Hefner dans son émission Playboy After Dark.
Son :
2/20
Pour les 40 ans du festival, Warner a mis les petits plats dans les grands et offre au film de Michael Wadleigh une édition 4 DVD comprenant près de 5 heures de suppléments ainsi qu'un livret de 60 pages reprenant le dossier (en anglais) de commémoration du festival par Life Magazine.
On passera rapidement sur Le Musée de Bethel Woods du disque 1, publicité à peine déguisée pour le musée entièrement consacré au festival, et on se dirigera directement vers les suppléments des disques 3 et 4.
DVD 3 : Woodstock - Histoires inédites
Y sont proposées pas moins de trois heures de performances musicales non retenues dans le montage final. On retiendra surtout les prestations des Creedence Clearwater Revival, grands absents du film (et plus particulièrement la reprise de I've Put a Spell on You de Screamin' Jay Hawkins), avec les Grateful Dead (dont on trouvera ici leur Turn On Your Love Light) ainsi que Moutain, Johnny Winter et Paul Butterfield. A leurs côtés, The Who offrent leur mythique My Generation, tandis que Canned Heat offrent un I'm Her Man et un On the Road Again de haute volée.
DVD 4 : Woodstock - Du Festival au Film
Ce quatrième et dernier disque propose quant à lui Du Festival au Film, un module d'une heure d'interviews retraçant l'histoire du festival au tournage du film, de sa création à sa réalisation. Pour parler de ce module composé d'une vingtaine de petites featurettes de quelques minutes, Michael Wadleigh, les producteurs Fred Weintraub et Dale Bell, Michael Lang (l'un des co-organisateurs du festival - photo ci-dessous), la monteuse Thelma Schoonmaker et son assistant d'alors Martin Scorsese se succèdent pour évoquer les difficultés rencontrées et surmontées par une équipe de caméramen et d'ingé son surmotivés, les divergences de points de vue entre le réalisateur et Warner sur la durée et le contenu du film ainsi que la réception critique à la sortie, quasiment tous les aspects de la production sont abordés.
On reste cependant sur sa faim, une certaine impression de survol dominant tout du long du doc. Comme si les intervenants (ou le réalisateur du doc) cherchaient à écrire la légende du film, étouffant par là même les aspects les moins glorieux. A l'instar du film d'ailleurs qui cache deux décès survenus pendant le festival (un d'une overdose d'héroïne, l'autre écrasé par un tracteur alors qu'il dormait dans un champ) pour appuyer l'idée que les trois jours de ce festival autogéré qui a rassemblé près d'un demi-million de personnes se sont déroulés sans encombre.
Deux autres modules complètent le disque : Zoom sur la communauté de Hig Farm (qui s'occupait du ravitaillement du festival, offrant même des repas aux festivaliers) ainsi qu'une interview de Michael Wadleigh par Hugh Hefner dans son émission Playboy After Dark.
On passera rapidement sur Le Musée de Bethel Woods du disque 1, publicité à peine déguisée pour le musée entièrement consacré au festival, et on se dirigera directement vers les suppléments des disques 3 et 4.
DVD 3 : Woodstock - Histoires inédites
Y sont proposées pas moins de trois heures de performances musicales non retenues dans le montage final. On retiendra surtout les prestations des Creedence Clearwater Revival, grands absents du film (et plus particulièrement la reprise de I've Put a Spell on You de Screamin' Jay Hawkins), avec les Grateful Dead (dont on trouvera ici leur Turn On Your Love Light) ainsi que Moutain, Johnny Winter et Paul Butterfield. A leurs côtés, The Who offrent leur mythique My Generation, tandis que Canned Heat offrent un I'm Her Man et un On the Road Again de haute volée.
DVD 4 : Woodstock - Du Festival au Film
Ce quatrième et dernier disque propose quant à lui Du Festival au Film, un module d'une heure d'interviews retraçant l'histoire du festival au tournage du film, de sa création à sa réalisation. Pour parler de ce module composé d'une vingtaine de petites featurettes de quelques minutes, Michael Wadleigh, les producteurs Fred Weintraub et Dale Bell, Michael Lang (l'un des co-organisateurs du festival - photo ci-dessous), la monteuse Thelma Schoonmaker et son assistant d'alors Martin Scorsese se succèdent pour évoquer les difficultés rencontrées et surmontées par une équipe de caméramen et d'ingé son surmotivés, les divergences de points de vue entre le réalisateur et Warner sur la durée et le contenu du film ainsi que la réception critique à la sortie, quasiment tous les aspects de la production sont abordés.
On reste cependant sur sa faim, une certaine impression de survol dominant tout du long du doc. Comme si les intervenants (ou le réalisateur du doc) cherchaient à écrire la légende du film, étouffant par là même les aspects les moins glorieux. A l'instar du film d'ailleurs qui cache deux décès survenus pendant le festival (un d'une overdose d'héroïne, l'autre écrasé par un tracteur alors qu'il dormait dans un champ) pour appuyer l'idée que les trois jours de ce festival autogéré qui a rassemblé près d'un demi-million de personnes se sont déroulés sans encombre.
Deux autres modules complètent le disque : Zoom sur la communauté de Hig Farm (qui s'occupait du ravitaillement du festival, offrant même des repas aux festivaliers) ainsi qu'une interview de Michael Wadleigh par Hugh Hefner dans son émission Playboy After Dark.
Bonus :
6/20
Pour les 40 ans du festival, Warner a mis les petits plats dans les grands et offre au film de Michael Wadleigh une édition 4 DVD comprenant près de 5 heures de suppléments ainsi qu'un livret de 60 pages reprenant le dossier (en anglais) de commémoration du festival par Life Magazine.
On passera rapidement sur Le Musée de Bethel Woods du disque 1, publicité à peine déguisée pour le musée entièrement consacré au festival, et on se dirigera directement vers les suppléments des disques 3 et 4.
DVD 3 : Woodstock - Histoires inédites
Y sont proposées pas moins de trois heures de performances musicales non retenues dans le montage final. On retiendra surtout les prestations des Creedence Clearwater Revival, grands absents du film (et plus particulièrement la reprise de I've Put a Spell on You de Screamin' Jay Hawkins), avec les Grateful Dead (dont on trouvera ici leur Turn On Your Love Light) ainsi que Moutain, Johnny Winter et Paul Butterfield. A leurs côtés, The Who offrent leur mythique My Generation, tandis que Canned Heat offrent un I'm Her Man et un On the Road Again de haute volée.
DVD 4 : Woodstock - Du Festival au Film
Ce quatrième et dernier disque propose quant à lui Du Festival au Film, un module d'une heure d'interviews retraçant l'histoire du festival au tournage du film, de sa création à sa réalisation. Pour parler de ce module composé d'une vingtaine de petites featurettes de quelques minutes, Michael Wadleigh, les producteurs Fred Weintraub et Dale Bell, Michael Lang (l'un des co-organisateurs du festival - photo ci-dessous), la monteuse Thelma Schoonmaker et son assistant d'alors Martin Scorsese se succèdent pour évoquer les difficultés rencontrées et surmontées par une équipe de caméramen et d'ingé son surmotivés, les divergences de points de vue entre le réalisateur et Warner sur la durée et le contenu du film ainsi que la réception critique à la sortie, quasiment tous les aspects de la production sont abordés.
On reste cependant sur sa faim, une certaine impression de survol dominant tout du long du doc. Comme si les intervenants (ou le réalisateur du doc) cherchaient à écrire la légende du film, étouffant par là même les aspects les moins glorieux. A l'instar du film d'ailleurs qui cache deux décès survenus pendant le festival (un d'une overdose d'héroïne, l'autre écrasé par un tracteur alors qu'il dormait dans un champ) pour appuyer l'idée que les trois jours de ce festival autogéré qui a rassemblé près d'un demi-million de personnes se sont déroulés sans encombre.
Deux autres modules complètent le disque : Zoom sur la communauté de Hig Farm (qui s'occupait du ravitaillement du festival, offrant même des repas aux festivaliers) ainsi qu'une interview de Michael Wadleigh par Hugh Hefner dans son émission Playboy After Dark.
On passera rapidement sur Le Musée de Bethel Woods du disque 1, publicité à peine déguisée pour le musée entièrement consacré au festival, et on se dirigera directement vers les suppléments des disques 3 et 4.
DVD 3 : Woodstock - Histoires inédites
Y sont proposées pas moins de trois heures de performances musicales non retenues dans le montage final. On retiendra surtout les prestations des Creedence Clearwater Revival, grands absents du film (et plus particulièrement la reprise de I've Put a Spell on You de Screamin' Jay Hawkins), avec les Grateful Dead (dont on trouvera ici leur Turn On Your Love Light) ainsi que Moutain, Johnny Winter et Paul Butterfield. A leurs côtés, The Who offrent leur mythique My Generation, tandis que Canned Heat offrent un I'm Her Man et un On the Road Again de haute volée.
DVD 4 : Woodstock - Du Festival au Film
Ce quatrième et dernier disque propose quant à lui Du Festival au Film, un module d'une heure d'interviews retraçant l'histoire du festival au tournage du film, de sa création à sa réalisation. Pour parler de ce module composé d'une vingtaine de petites featurettes de quelques minutes, Michael Wadleigh, les producteurs Fred Weintraub et Dale Bell, Michael Lang (l'un des co-organisateurs du festival - photo ci-dessous), la monteuse Thelma Schoonmaker et son assistant d'alors Martin Scorsese se succèdent pour évoquer les difficultés rencontrées et surmontées par une équipe de caméramen et d'ingé son surmotivés, les divergences de points de vue entre le réalisateur et Warner sur la durée et le contenu du film ainsi que la réception critique à la sortie, quasiment tous les aspects de la production sont abordés.
On reste cependant sur sa faim, une certaine impression de survol dominant tout du long du doc. Comme si les intervenants (ou le réalisateur du doc) cherchaient à écrire la légende du film, étouffant par là même les aspects les moins glorieux. A l'instar du film d'ailleurs qui cache deux décès survenus pendant le festival (un d'une overdose d'héroïne, l'autre écrasé par un tracteur alors qu'il dormait dans un champ) pour appuyer l'idée que les trois jours de ce festival autogéré qui a rassemblé près d'un demi-million de personnes se sont déroulés sans encombre.
Deux autres modules complètent le disque : Zoom sur la communauté de Hig Farm (qui s'occupait du ravitaillement du festival, offrant même des repas aux festivaliers) ainsi qu'une interview de Michael Wadleigh par Hugh Hefner dans son émission Playboy After Dark.
