Skyscraper : que vaut le film catastrophe de Dwayne Johnson ? revue de presse

(Revue de presse publiée le 11 juillet 2018 pour la sortie au cinéma de Skyscraper)

Plus rien n'arrête Dwayne "The Rock" Johnson. Ni un tremblement de terre en Californie, ni un crocodile géant et un loup volant détruisant une ville et encore moins une prise d'otages dans le building le plus high tech au monde en flammes !

Pour Skyscraper, le colosse va devoir sauver sa famille piégée à 900 mètres de haut alors qu'il a une jambe en moins et que des paramilitaires menacent sa vie. Mais il en faut bien plus pour déstabiliser The Rock.

Film estival et pop corn sur papier, Skyscraper est dans nos salles depuis le 11 juillet. Que vaut donc le film catastrophe à la Die Hard de The Rock ? Voici quelques avis dénichés sur le net.

IGN : Il faut prendre Skyscraper comme un pur produit estival, et en tant que tel, il délivre tout ce que l'on attend de lui. Dwayne Johnson est toujours aussi efficace dans ce rôle de super-héros (même avec une prothèse), et la réalisation donne littéralement le vertige. S'il ne brille pas par l'intelligence de son scénario, il n'en demeure pas moins un excellent divertissement.

Culturellement Votre : Si on devait résumer la recette du film, on pourrait dire que Skyscraper est un mélange entre Die Hard – Piège de Cristal et La Tour Infernale. Rien de bien exceptionnel, mais il faut dire que celui-ci tient quand même bien en haleine et qu’il contient quelques bonnes surprises.

Ecran Large : Un film d'action désincarné, inoffensif, dont les effluves de sueur et de cordite ont été remplacées par des relents de détergent industriel. Reste le charisme de sa star et un rythme suffisamment intense pour prévenir l'endormissement.

Le Figaro : Dans ce pop-corn movie de l'été signé Rawson Marshall Thurber, «The Rock» prend son pied à défier les lois de la physique et enchaîner les cascades les plus invraisemblables. Un nanar purement jouissif.

Télé-Loisirs : Pas vraiment d'originalité donc dans cette grosse production toute à la gloire de la musculature de Dwayne Johnson, toujours aussi impressionnante il est vrai. The Rock qui escalade la façade, The Rock qui savate les méchants, The Rock qui saute d'une grue,... Du trauma originel aux valeurs familiales rebâchées, on avance en territoire connu. Restent les scènes de destruction et d'incendie pour remonter un peu la température.

Avoir A Lire : Dans la catégorie des grosses machines improbables, Skyscraper renvoie immédiatement au plus balourd des productions américaines des années 90, ces films d’envergure assez catastrophiques qui plastronnaient sur l’improbabilité de scènes d’action énormes, justifiées par le développement des images de synthèse... L’ancien catcheur est-il devenu l’incarnation hébétée d’une virilité gonflée aux hormones, jadis promue par Stallone, Schwarzy et Van Damme ?

Rencontre avec Dwayne Johnson et Emily Blunt