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Venom 2 : On a rencontré Tom Hardy à Londres avec ses chiens "Hi i'm Tom"

Le 30/10/2021 à 14:09
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On a rencontré Tom Hardy et Andy Serkis à Londres pour Venom Let There Be Carnage. On vous raconte.
 
Venom Let There Be Carnage
 
Le rendez-vous est pris dans la capitale anglaise "en présentiel" avec Tom Hardy et Andy Serkis pour la promo de Venom 2 Let There Be Carnage. Après un an et demi de zoom avec les acteurs et actrices internationaux à des heures diverses (jackpot pour Vin Diesel à 2 heures du matin), quel plaisir de pouvoir traverser à nouveau la Manche et discuter en face à face avec deux d'entre eux, même si ce n'est que pour une poignée de minutes, les junkets cinéma ne nous offrant rarement plus de 5,6 minutes de créneau avec un talent.  


 
On est attendu au 3éme étage du Corinthia Hotel près de la Tamise en plein centre de Londres. Quelques fans poireautent devant l'entrée de cet hôtel de luxe en espèrant apercevoir la star. On nous dit que Tom est en retard. Mais des gamelles et des paniers pour ses chiens ont été installés dans la salle d’attente réservée aux journalistes. "Tom ne se déplace jamais sans ses chiens" nous annonce-t-on.
 
Tom Hardy
Pour les chienchiens de Tommy Boy.
 

On nous a aussi prévenu que Tom n’était pas toujours facile. C’est donc un peu avec une boule au ventre que l’on patiente. La salle d’attente d’un junket, c’est un peu comme celle d’un médecin. Les uns après les autres, les journalistes sont conviés à passer dans "la pièce de consultation". Sauf que là, nous sommes que deux à attendre, le reste des médias invité ayant préféré opter pour le zoom à distance et ne pas fouler le Royaume Uni. 

 
Tom arrive enfin et surprise, Tom est de super bonne humeur. "On l’a rarement vu aussi enjoué" nous annonce le bureau de Sony UK. Voilà qui est rassurant. Visiblement, l'acteur prend à coeur de défendre sa franchise d'autant plus qu'il a contribué au scénario de cette suite.

 
Venom Let There Be Carnage
 

Alors que l’on entre dans la fameuse pièce à interview, le duo a démarré sa journée avec un enchaînement de zooms. Mais les deux anglais semblent aussi contents que nous de rencontrer une personne en chair et en os.

 

"Hello, i’m Tom" nous envoie Tom Hardy, pieds nus, en short de sport paré pour le ju-jitsu, les bras derrière la tête, en train de s'étirer. Mode décontraction totale pour la star du film qui affiche une carrure de bulldozer. Il faut dire que Tom Hardy s'entraîne pour Havoc, film d'action de Gareth Evans (The Raid) qu'il tourne pour Netflix dans le sillage de Tyler Rake. "C'est le tournage le plus physique de ma vie" souligne l'ex Bane de DC.


Andy Serkis a lui opté pour la chemise hawaïenne. La complicité entre les deux est évidente. Quand on leur fait remarquer, Andy Serkis nous explique : "C’est Tom qui est venu me chercher pour Let There Be Carnage. J’ai été surpris et vraiment honoré. Je le considère comme un des meilleurs acteurs de sa génération. Il m’a dit avoir pensé à moi à cause de mon expérience passée d’acteur (Faut-il rappeler qu'Andy Serkis a été Gollum dans le Seigneur des Anneaux et César dans La Planète des Singes ?- ndr). Il voulait quelqu’un qui puisse le pousser dans ses retranchements et mettre en avant comme il se doit cette dualité schizophrénique Eddie Brock/ Venom".

L’interview est officiellement lancée. 6m chrono. C’est court. On décide de démarrer directement avec une question à Tom. Et de lui parler de ses chiens, histoire de briser la glace. 

 

Souriant, disponible, heureux de défendre ce film qu’il co-produit et dont il a initié l’histoire, Tom Hardy est volontaire. Le truc c’est que l’acteur londonien marmonne autant dans la réalité que dans ses films. On se souvient des spectateurs anglo-saxons se plaignant de ne pas comprendre ce qu’il disait sous son masque de Bane. Sans masque, c’est parfois la même chose. Tom est dans son univers alternatif au côté d’un Andy Serkis ricanant et s’amusant à imiter Venom quand on lui demande qu’est ce qui se passerait si Venom rencontrait Gollum.
 
Venom Let There Be Carnage


Les junkets, de par leur durée éclair et leur caractère répétitif et abrutissant pour les talents, sont souvent frustrants. Mais quand on a eu le sentiment qu'un échange, aussi bref soit-il, se produit, on en redemande. C'est ce que nous ont proposé ce jour là Tom Hardy et Andy Serkis. 


On passera sous silence l'arrivée d'un chien de Tom Hardy  à la fin de l'interview et le journaliste de Filmsactu lançant comme s'il était Thomas VBD "his name is not Françoise isn't it ?". Ce à quoi l'intéressé a répliqué un peu surpris 'Françoise who ?".
 
Ce qu'il se passe dans les junkets à Londres mérite parfois de rester dans les junkets à Londres.
 
Venom Let There Be Carnage, actuellement au cinéma




Venom Let There Be Carnage






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