En passant par la case Blu-Ray, The Rocky Horror Picture Show accroit son interactivité plus qu'elle ne l'était déjà en DVD, en offrant surtout différents modes de lecture. Il est en effet possible de redécouvrir le film avec son Introduction en noir et blanc (le film ne devient en couleur qu'à partir de Let's Do The Time Warp Again), une option disponible en bonus caché sur le DVD, mais également de choisir entre la version anglaise et américaine. Une différence plutôt minime puisque la version anglaise se targue d'une chanson supplémentaire d'une minute et vingt secondes à la fin du film.
Deux choses proposées sur l'édition précédente, mais qui se voient ici complétées par La séance de minuit interactive. En réalité un hommage sympa aux fans qui se retrouvent pour mettre le boxon à chaque projection du film. La première option s'appelle La malle aux accessoires et permet de lancer des saucisses, des toasts ou des rouleaux de papier toilette sur votre écran, de tirer au pistolet à l'eau, de souffler dans une langue de belle-mère et bien d'autres fantaisies. Tout cela de façon virtuelle, bien entendu. La seconde option, Le Show en PIP est une espèce de performance où un groupe de fans rejoue le film sur scène dans son intégralité, pratiquement en temps réel. On peut voir la chose dans une petite fenêtre prenant le quart de l'écran et que l'on peut agrandir totalement à tout moment en appuyant sur le bouton vert de la télécommande.
Le show en question a d'ailleurs été tourné exprès pour la sortie de ce Blu-Ray et on y retrouve ici une sorte de making of. Le Casting du 35ème anniversaire (58min14) s'intéresse donc aux séances de casting des nombreux fans qui ont voulu assister à l'évènement, au tournage en lui-même, laissant chacun exprimer son sentiment ou la folie qui sommeille en lui. Axé sur deux parties, l'ensemble arbore des aspects de Pop Idol. Le premier segment se focalisant sur le casting à grande échelle, avant que le second se concentre ensuite sur les finalistes. Barry Bostick (l'un des héros du film mais également connu pour avoir interprété le Maire dans Spin City) s'impose d'ailleurs ici en juge pour sélectionner les heureux élus. Tout ceci est chouette, mais on rencontre un couac énorme : il n'y a aucun sous-titre disponible ici, mettant sur la sellette les non-anglophones.
On retrouve ensuite le bonus quasi-indispensable pour tous les fans : une version Karaoké donnant un accès immédiat aux séquences chantées en passant outre les autres scènes. Il est possible de les obtenir avec les voix d'origines en Dolby Digital 5.1 ou bien sans les voix, en Dolby Digital 2.0. Pour l'occasion, les sous-titres adoptent la typographie du film, devenant rouge au rythme des paroles. C'est enfin une courte interview de Mick Rock (3min36) qui boucle le rang des nouveautés proposées ici. Certes, le photographe de plateau n'a pas énormément de temps de parole, mais la moindre des choses aurait été de lui offrir des sous-titres. Heureusement que son Diaporama photo (3min50) en haute définition compense cette absence. Ceci dit, on préfère largement les regarder dans le livret-packaging, même si elles y sont moins nombreuses.
Les autres bonus sont certes issus de la précédente édition DVD réalisée pour les 30 ans du film mais n'était déjà pas avares en contenu. A commencer par le Commentaire audio de Richard O'Brien et Patricia Quinn, les serviteurs excentriques du film et instigateurs du projet (sur scène comme au cinéma). Typiquement le genre de supplément qui s'impose comme la meilleure analyse en profondeur de The Rocky Horror Picture Show. Si les deux intervenants ne semblent pas habitués à parler de cinéma, il reviennent sur leurs souvenirs avec un naturel d'une authenticité rare, témoignant de ces nombreux petits détails qui épicent un tournage et revenant sur la vie des uns et des autres, selon qui défile à l'écran. Un happening plutôt agréable à écouter.
Les Scènes musicales inédites (5min) permettent de profiter un peu de Barry Bostwick poussant la chansonnette, tandis que les Scènes coupées (10min02) reposent plus sur le visionnage de rushes des chansons collégiales avec la prise son directement issue du plateau. Mais pas de véritables séquences inédites. Une bonne manière de découvrir à ressemble le tournage d'une comédie musicale avant mixage. Toujours pour rester dans les variantes, on y trouve un Générique de fin alternatif (3min45) qui ne fait varier que la chanson, ici une réutilisation Let's Do The Time Warp Again qui confine un côté un peu plus joyeux au final du film. Coquille sur le générique (1min44) est une dernière variante de la chute, mixant le son original avec l'une des prises coupées évoquées plus haut.
Le Phénomène Horror Picture Show (36min25) est un reportage tourné en 1995 à l'occasion du 20ème anniversaire du film. Joignant des interviews des principaux membres de l'équipe ainsi que de nombreuses images d'une convention organisée pour l'occasion dévoilant une ambiance déchainée. Tant de la part du public que des acteurs ou du réalisateur, présents sur scène et n'hésitant pas à reprendre leurs titres phares. C'est surtout Meat Loaf qui, improvisant littéralement un concert, anime le genre d'ambiance que l'on retrouve trop rarement à ce type d'évènement. Entre des anecdotes instructives et un vrai sens du divertissement, le documentaire s'impose comme une belle rétrospective, même si plus vraiment récente. Dans le même esprit, Beacon Theater, New York (5min26) dévoilait déjà une conférence organisée en 1985, permettant ainsi de découvrir l'engouement et l'entretient du culte autour du film au fil des années. On regrettera en revanche l'absence de sous-titres sur ce module.
Ajoutons à tout ceci un Clip Time Warp (4min41) réalisé en 1990 pour sa sortie en VHS, deux bandes annonces, des galeries d'articles et d'affiches.
En passant par la case Blu-Ray, The Rocky Horror Picture Show accroit son interactivité plus qu'elle ne l'était déjà en DVD, en offrant surtout différents modes de lecture. Il est en effet possible de redécouvrir le film avec son Introduction en noir et blanc (le film ne devient en couleur qu'à partir de Let's Do The Time Warp Again), une option disponible en bonus caché sur le DVD, mais également de choisir entre la version anglaise et américaine. Une différence plutôt minime puisque la version anglaise se targue d'une chanson supplémentaire d'une minute et vingt secondes à la fin du film.
Deux choses proposées sur l'édition précédente, mais qui se voient ici complétées par La séance de minuit interactive. En réalité un hommage sympa aux fans qui se retrouvent pour mettre le boxon à chaque projection du film. La première option s'appelle La malle aux accessoires et permet de lancer des saucisses, des toasts ou des rouleaux de papier toilette sur votre écran, de tirer au pistolet à l'eau, de souffler dans une langue de belle-mère et bien d'autres fantaisies. Tout cela de façon virtuelle, bien entendu. La seconde option, Le Show en PIP est une espèce de performance où un groupe de fans rejoue le film sur scène dans son intégralité, pratiquement en temps réel. On peut voir la chose dans une petite fenêtre prenant le quart de l'écran et que l'on peut agrandir totalement à tout moment en appuyant sur le bouton vert de la télécommande.
Le show en question a d'ailleurs été tourné exprès pour la sortie de ce Blu-Ray et on y retrouve ici une sorte de making of. Le Casting du 35ème anniversaire (58min14) s'intéresse donc aux séances de casting des nombreux fans qui ont voulu assister à l'évènement, au tournage en lui-même, laissant chacun exprimer son sentiment ou la folie qui sommeille en lui. Axé sur deux parties, l'ensemble arbore des aspects de Pop Idol. Le premier segment se focalisant sur le casting à grande échelle, avant que le second se concentre ensuite sur les finalistes. Barry Bostick (l'un des héros du film mais également connu pour avoir interprété le Maire dans Spin City) s'impose d'ailleurs ici en juge pour sélectionner les heureux élus. Tout ceci est chouette, mais on rencontre un couac énorme : il n'y a aucun sous-titre disponible ici, mettant sur la sellette les non-anglophones.
On retrouve ensuite le bonus quasi-indispensable pour tous les fans : une version Karaoké donnant un accès immédiat aux séquences chantées en passant outre les autres scènes. Il est possible de les obtenir avec les voix d'origines en Dolby Digital 5.1 ou bien sans les voix, en Dolby Digital 2.0. Pour l'occasion, les sous-titres adoptent la typographie du film, devenant rouge au rythme des paroles. C'est enfin une courte interview de Mick Rock (3min36) qui boucle le rang des nouveautés proposées ici. Certes, le photographe de plateau n'a pas énormément de temps de parole, mais la moindre des choses aurait été de lui offrir des sous-titres. Heureusement que son Diaporama photo (3min50) en haute définition compense cette absence. Ceci dit, on préfère largement les regarder dans le livret-packaging, même si elles y sont moins nombreuses.
Les autres bonus sont certes issus de la précédente édition DVD réalisée pour les 30 ans du film mais n'était déjà pas avares en contenu. A commencer par le Commentaire audio de Richard O'Brien et Patricia Quinn, les serviteurs excentriques du film et instigateurs du projet (sur scène comme au cinéma). Typiquement le genre de supplément qui s'impose comme la meilleure analyse en profondeur de The Rocky Horror Picture Show. Si les deux intervenants ne semblent pas habitués à parler de cinéma, il reviennent sur leurs souvenirs avec un naturel d'une authenticité rare, témoignant de ces nombreux petits détails qui épicent un tournage et revenant sur la vie des uns et des autres, selon qui défile à l'écran. Un happening plutôt agréable à écouter.
Les Scènes musicales inédites (5min) permettent de profiter un peu de Barry Bostwick poussant la chansonnette, tandis que les Scènes coupées (10min02) reposent plus sur le visionnage de rushes des chansons collégiales avec la prise son directement issue du plateau. Mais pas de véritables séquences inédites. Une bonne manière de découvrir à ressemble le tournage d'une comédie musicale avant mixage. Toujours pour rester dans les variantes, on y trouve un Générique de fin alternatif (3min45) qui ne fait varier que la chanson, ici une réutilisation Let's Do The Time Warp Again qui confine un côté un peu plus joyeux au final du film. Coquille sur le générique (1min44) est une dernière variante de la chute, mixant le son original avec l'une des prises coupées évoquées plus haut.
Le Phénomène Horror Picture Show (36min25) est un reportage tourné en 1995 à l'occasion du 20ème anniversaire du film. Joignant des interviews des principaux membres de l'équipe ainsi que de nombreuses images d'une convention organisée pour l'occasion dévoilant une ambiance déchainée. Tant de la part du public que des acteurs ou du réalisateur, présents sur scène et n'hésitant pas à reprendre leurs titres phares. C'est surtout Meat Loaf qui, improvisant littéralement un concert, anime le genre d'ambiance que l'on retrouve trop rarement à ce type d'évènement. Entre des anecdotes instructives et un vrai sens du divertissement, le documentaire s'impose comme une belle rétrospective, même si plus vraiment récente. Dans le même esprit, Beacon Theater, New York (5min26) dévoilait déjà une conférence organisée en 1985, permettant ainsi de découvrir l'engouement et l'entretient du culte autour du film au fil des années. On regrettera en revanche l'absence de sous-titres sur ce module.
Ajoutons à tout ceci un Clip Time Warp (4min41) réalisé en 1990 pour sa sortie en VHS, deux bandes annonces, des galeries d'articles et d'affiches.
En passant par la case Blu-Ray, The Rocky Horror Picture Show accroit son interactivité plus qu'elle ne l'était déjà en DVD, en offrant surtout différents modes de lecture. Il est en effet possible de redécouvrir le film avec son Introduction en noir et blanc (le film ne devient en couleur qu'à partir de Let's Do The Time Warp Again), une option disponible en bonus caché sur le DVD, mais également de choisir entre la version anglaise et américaine. Une différence plutôt minime puisque la version anglaise se targue d'une chanson supplémentaire d'une minute et vingt secondes à la fin du film.
Deux choses proposées sur l'édition précédente, mais qui se voient ici complétées par La séance de minuit interactive. En réalité un hommage sympa aux fans qui se retrouvent pour mettre le boxon à chaque projection du film. La première option s'appelle La malle aux accessoires et permet de lancer des saucisses, des toasts ou des rouleaux de papier toilette sur votre écran, de tirer au pistolet à l'eau, de souffler dans une langue de belle-mère et bien d'autres fantaisies. Tout cela de façon virtuelle, bien entendu. La seconde option, Le Show en PIP est une espèce de performance où un groupe de fans rejoue le film sur scène dans son intégralité, pratiquement en temps réel. On peut voir la chose dans une petite fenêtre prenant le quart de l'écran et que l'on peut agrandir totalement à tout moment en appuyant sur le bouton vert de la télécommande.
Le show en question a d'ailleurs été tourné exprès pour la sortie de ce Blu-Ray et on y retrouve ici une sorte de making of. Le Casting du 35ème anniversaire (58min14) s'intéresse donc aux séances de casting des nombreux fans qui ont voulu assister à l'évènement, au tournage en lui-même, laissant chacun exprimer son sentiment ou la folie qui sommeille en lui. Axé sur deux parties, l'ensemble arbore des aspects de Pop Idol. Le premier segment se focalisant sur le casting à grande échelle, avant que le second se concentre ensuite sur les finalistes. Barry Bostick (l'un des héros du film mais également connu pour avoir interprété le Maire dans Spin City) s'impose d'ailleurs ici en juge pour sélectionner les heureux élus. Tout ceci est chouette, mais on rencontre un couac énorme : il n'y a aucun sous-titre disponible ici, mettant sur la sellette les non-anglophones.
On retrouve ensuite le bonus quasi-indispensable pour tous les fans : une version Karaoké donnant un accès immédiat aux séquences chantées en passant outre les autres scènes. Il est possible de les obtenir avec les voix d'origines en Dolby Digital 5.1 ou bien sans les voix, en Dolby Digital 2.0. Pour l'occasion, les sous-titres adoptent la typographie du film, devenant rouge au rythme des paroles. C'est enfin une courte interview de Mick Rock (3min36) qui boucle le rang des nouveautés proposées ici. Certes, le photographe de plateau n'a pas énormément de temps de parole, mais la moindre des choses aurait été de lui offrir des sous-titres. Heureusement que son Diaporama photo (3min50) en haute définition compense cette absence. Ceci dit, on préfère largement les regarder dans le livret-packaging, même si elles y sont moins nombreuses.
Les autres bonus sont certes issus de la précédente édition DVD réalisée pour les 30 ans du film mais n'était déjà pas avares en contenu. A commencer par le Commentaire audio de Richard O'Brien et Patricia Quinn, les serviteurs excentriques du film et instigateurs du projet (sur scène comme au cinéma). Typiquement le genre de supplément qui s'impose comme la meilleure analyse en profondeur de The Rocky Horror Picture Show. Si les deux intervenants ne semblent pas habitués à parler de cinéma, il reviennent sur leurs souvenirs avec un naturel d'une authenticité rare, témoignant de ces nombreux petits détails qui épicent un tournage et revenant sur la vie des uns et des autres, selon qui défile à l'écran. Un happening plutôt agréable à écouter.
Les Scènes musicales inédites (5min) permettent de profiter un peu de Barry Bostwick poussant la chansonnette, tandis que les Scènes coupées (10min02) reposent plus sur le visionnage de rushes des chansons collégiales avec la prise son directement issue du plateau. Mais pas de véritables séquences inédites. Une bonne manière de découvrir à ressemble le tournage d'une comédie musicale avant mixage. Toujours pour rester dans les variantes, on y trouve un Générique de fin alternatif (3min45) qui ne fait varier que la chanson, ici une réutilisation Let's Do The Time Warp Again qui confine un côté un peu plus joyeux au final du film. Coquille sur le générique (1min44) est une dernière variante de la chute, mixant le son original avec l'une des prises coupées évoquées plus haut.
Le Phénomène Horror Picture Show (36min25) est un reportage tourné en 1995 à l'occasion du 20ème anniversaire du film. Joignant des interviews des principaux membres de l'équipe ainsi que de nombreuses images d'une convention organisée pour l'occasion dévoilant une ambiance déchainée. Tant de la part du public que des acteurs ou du réalisateur, présents sur scène et n'hésitant pas à reprendre leurs titres phares. C'est surtout Meat Loaf qui, improvisant littéralement un concert, anime le genre d'ambiance que l'on retrouve trop rarement à ce type d'évènement. Entre des anecdotes instructives et un vrai sens du divertissement, le documentaire s'impose comme une belle rétrospective, même si plus vraiment récente. Dans le même esprit, Beacon Theater, New York (5min26) dévoilait déjà une conférence organisée en 1985, permettant ainsi de découvrir l'engouement et l'entretient du culte autour du film au fil des années. On regrettera en revanche l'absence de sous-titres sur ce module.
Ajoutons à tout ceci un Clip Time Warp (4min41) réalisé en 1990 pour sa sortie en VHS, deux bandes annonces, des galeries d'articles et d'affiches.