Le Bon Gros Géant : que vaut le nouveau Steven Spielberg ? (revue de presse)
Le 16/05/2016 à 10:58Par Camille Solal
Adapté d'une histoire de Roald Dahl (Charlie et la Chocolaterie) par Melissa Mathison à qui l'on doit le scénario d'E.T (elle est décédée en novembre dernier), le BGG relate les aventures de Sophie, une petite orpheline (Ruby Barnhill) emmenée au pays des géants par l'un d'entre eux (Mark Rylance,oscarisé pour le Pont des Espions).
Voici une revue de presse assez mitigée du nouveau Spielby :
La Presse.Ca : "On reconnaît la touche de génie du réalisateur, mais on est loin du calibre d’E.T. Doté de moyens et d’une direction artistique exceptionnels, BGG resplendit à l’écran. Le récit, par contre, souffre d’une très longue mise en place, qui manque de rythme."
Cloneweb : "Certes, le Bon Gros Géant n’est pas un grand Spielberg. Il ne fera pas partie de ses chefs d’œuvres, mais il démontre que ce grand cinéaste reste l’idéal pour nous conter ce genre de jolis rêves fantastiques."
Télérama : "Steven Spielberg rendosse sa cape de réalisateur pour enfants avec la scénariste de E.T.. Mais son adaptation du très poétique récit de Roald Dahl navigue à vue entre merveilleux et mièvrerie."
Première : "Un "petit" Spielberg ? C’est l’adjectif qui revient le plus souvent dans les conversations sur Le Bon Gros Géant (Le BGG), l’adaptation par Spielby du livre de Roald Dahl, présenté hier hors compétition à Cannes. Parce qu’il n’est en effet pas toujours très joli à regarder, parce qu’il pêche souvent par manque de rythme, le film a déjà été rangé dans la catégorie des Spielberg miniatures, riquiqui..."
Le Monde : "Un « Bon Gros Géant » bien lourdaud."
Les Inrocks : "Le BGG est un conte spielbergien un peu lourd..."
Metronews : "Malgré toute la bonne volonté du monde, le maestro échoue à insuffler une quelconque magie à cette histoire d’amitié entre une orpheline et un géant. "