Last House on Dead End Street
Le 28/01/2009 à 12:51Par Yann Rutledge
Notre avis
En suivant un ex-pornographe qui sorti de prison se met en tête de tourner le snuff-movie ultime, Watkins (qui s'attribue d'ailleurs le rôle principal) trouve prétexte à vomir sur l'écran les sévices les plus extrêmes. Sado-masochisme, démembrement, énucléation, le tout plaqué sur une musique excessivement furieuse et anxiogène, rien ne nous sera épargné en 80 minutes de métrage.
Une expérience extrême, transgressive et égocentrique à conseiller exclusivement à ceux qui ont le coeur bien accroché. On vous aura prévenus !