Ryan Gosling : ses 5 scènes cultes et sexy qui font craquer les filles
Le 14/05/2016 à 10:41Par Michèle Bori
Sex-symbol de sa génération, Ryan Gosling est à l'affiche de The Nice Guys, le nouveau action buddy movie de Shane Black, l'homme derrière Kiss Kiss Bang Bang, Iron Man 3 et le scénario de l'Arme Fatale.
Dans le Los Angeles des seventies, March (Ryan Gosling) acoolique froussard et Healy (Russell Crowe), une brute épaisse sans conviction, enquêtent sur le prétendu suicide d’une starlette. Bourré de scènes d'action, de punchlines assassines, de situations rocambolesques et de séquences jouissivement décalées, ce nouveau film de Shane Black respire le cool à plein nez.
Cette sortie est l'occasion de revenir sur 5 scènes marquantes de sa filmographie. Non pas les scènes les plus violentes, mais les plus romantiques. Celles qui ont contribué à renforcer son étiquette de "sexiest man alive".
5 - Crazy Stupid Love (2011)
Sa partenaire chanceuse : Emma Stone
4 - Gangster Squad (2013)
C'est encore une fois Emma Stone qui a la chance d'attirer dans ses bras le beau Ryan.
3 - Drive (2011)
La scène de l'ascenseur avec Carey Mulligan reste culte. Ryan Gosling n'a même pas besoin de faire la causette à sa dulcinée pour l'emballer. Un regard suffit. On rappelle qu'à la suite de cette séquence de baiser, il tue le troisième passager de l'ascenseur à coups de pied de manière on ne peut plus brutale.
2 - Blue Valentine (2010)
L'une des plus belles et authentiques séquences de drague au cinéma de ces dernières années demeure ce plan dans les rues de New York entre Michelle Williams et Ryan Golsing et son Ukulele. Car Ryan est aussi un talentueux musicien dans la vie. Décidemment, on ne nait pas tous égaux...
1 - The Notebook (2004)
Sans hésitation, son baiser sous la pluie avec Rachel McAdams s'impose comme la scène la plus romantique et appréciée de la gente féminine de toute sa filmo. Ce film a eu un tel retentissement aux Etats-Unis que lors des MTV Awards 2005, les deux acteurs ont rejoué la scène en recevant leurs récompenses.