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9/20
Commentaire audio de la réalisatrice Anne De Petrini
Pour son premier commentaire audio, Anne Depetrini s'en tire haut la main. Sans aucun temps mort, notre interlocutrice enchaîne les anecdotes de tournage, sur la préparation, l'écriture du scénario tout en faisant d'inévitables compliments envers ses comédiens avec sincérité et générosité. Alors bien sûr, nous ne sommes pas en présence d'une immanquable leçon de cinéma (même si la réalisatrice nous cite le cinéma italien, François Truffaut, Billy Wilder), mais finalement ce genre de commentaire décomplexé, drôle et énergique est assez rare pour être signalé, et revoir le film avec les explications d'Anne Depetrini est finalement hautement recommandable.
Making of (27min01)
Comme le commentaire audio, ce making of va à 100 à l'heure et se laisse agréablement suivre. Aux nombreuses images du tournage et des coulisses se croisent les interviews de toute l'équipe du film, la réalisatrice Anne Depetrini reprenant d'ailleurs quelques anecdotes déjà entendues dans son commentaire audio. Elle y évoque l'origine de l'histoire, le caractère social du film et passe en revue l'intégralité de son casting, des premiers aux seconds rôles, tandis que ceux-ci présentent tour à tour leur personnage respectif. Si ce module n'échappe pas à la règle promotionnelle où tout le monde aime tout le monde, on serait pour une fois bien tenté de les croire et il serait dommage de bouder ce petit plaisir de 27 minutes.
Scènes coupées (4min52)
L'éditeur nous propose cinq petites séquences coupées très marrantes qui auraient tout aussi bien pu avoir leur place dans le métrage final. On y voit entre autre Djalil qui se voit refuser son aide par une Algérienne à l'hôpital (sous prétexte qu'l n’est pas un "vrai médecin"), tandis que sa mère (Biyouna) alors en CE2 découvre toute la complexité de la géographie française. Les autres séquences permettaient d'approfondir le quotidien des personnages incarnés par Alex Lutz, Marie-France Pisier, Jean-Luc Bideau et Fellag.
L'interactivité se clôt sur un inévitable bêtisier (3min21) ainsi qu'un lot conséquent de teasers (3min19) et la bande-annonce (1min59).
Pour son premier commentaire audio, Anne Depetrini s'en tire haut la main. Sans aucun temps mort, notre interlocutrice enchaîne les anecdotes de tournage, sur la préparation, l'écriture du scénario tout en faisant d'inévitables compliments envers ses comédiens avec sincérité et générosité. Alors bien sûr, nous ne sommes pas en présence d'une immanquable leçon de cinéma (même si la réalisatrice nous cite le cinéma italien, François Truffaut, Billy Wilder), mais finalement ce genre de commentaire décomplexé, drôle et énergique est assez rare pour être signalé, et revoir le film avec les explications d'Anne Depetrini est finalement hautement recommandable.
Making of (27min01)
Comme le commentaire audio, ce making of va à 100 à l'heure et se laisse agréablement suivre. Aux nombreuses images du tournage et des coulisses se croisent les interviews de toute l'équipe du film, la réalisatrice Anne Depetrini reprenant d'ailleurs quelques anecdotes déjà entendues dans son commentaire audio. Elle y évoque l'origine de l'histoire, le caractère social du film et passe en revue l'intégralité de son casting, des premiers aux seconds rôles, tandis que ceux-ci présentent tour à tour leur personnage respectif. Si ce module n'échappe pas à la règle promotionnelle où tout le monde aime tout le monde, on serait pour une fois bien tenté de les croire et il serait dommage de bouder ce petit plaisir de 27 minutes.
Scènes coupées (4min52)
L'éditeur nous propose cinq petites séquences coupées très marrantes qui auraient tout aussi bien pu avoir leur place dans le métrage final. On y voit entre autre Djalil qui se voit refuser son aide par une Algérienne à l'hôpital (sous prétexte qu'l n’est pas un "vrai médecin"), tandis que sa mère (Biyouna) alors en CE2 découvre toute la complexité de la géographie française. Les autres séquences permettaient d'approfondir le quotidien des personnages incarnés par Alex Lutz, Marie-France Pisier, Jean-Luc Bideau et Fellag.
L'interactivité se clôt sur un inévitable bêtisier (3min21) ainsi qu'un lot conséquent de teasers (3min19) et la bande-annonce (1min59).
Son :
8/20
Commentaire audio de la réalisatrice Anne De Petrini
Pour son premier commentaire audio, Anne Depetrini s'en tire haut la main. Sans aucun temps mort, notre interlocutrice enchaîne les anecdotes de tournage, sur la préparation, l'écriture du scénario tout en faisant d'inévitables compliments envers ses comédiens avec sincérité et générosité. Alors bien sûr, nous ne sommes pas en présence d'une immanquable leçon de cinéma (même si la réalisatrice nous cite le cinéma italien, François Truffaut, Billy Wilder), mais finalement ce genre de commentaire décomplexé, drôle et énergique est assez rare pour être signalé, et revoir le film avec les explications d'Anne Depetrini est finalement hautement recommandable.
Making of (27min01)
Comme le commentaire audio, ce making of va à 100 à l'heure et se laisse agréablement suivre. Aux nombreuses images du tournage et des coulisses se croisent les interviews de toute l'équipe du film, la réalisatrice Anne Depetrini reprenant d'ailleurs quelques anecdotes déjà entendues dans son commentaire audio. Elle y évoque l'origine de l'histoire, le caractère social du film et passe en revue l'intégralité de son casting, des premiers aux seconds rôles, tandis que ceux-ci présentent tour à tour leur personnage respectif. Si ce module n'échappe pas à la règle promotionnelle où tout le monde aime tout le monde, on serait pour une fois bien tenté de les croire et il serait dommage de bouder ce petit plaisir de 27 minutes.
Scènes coupées (4min52)
L'éditeur nous propose cinq petites séquences coupées très marrantes qui auraient tout aussi bien pu avoir leur place dans le métrage final. On y voit entre autre Djalil qui se voit refuser son aide par une Algérienne à l'hôpital (sous prétexte qu'l n’est pas un "vrai médecin"), tandis que sa mère (Biyouna) alors en CE2 découvre toute la complexité de la géographie française. Les autres séquences permettaient d'approfondir le quotidien des personnages incarnés par Alex Lutz, Marie-France Pisier, Jean-Luc Bideau et Fellag.
L'interactivité se clôt sur un inévitable bêtisier (3min21) ainsi qu'un lot conséquent de teasers (3min19) et la bande-annonce (1min59).
Pour son premier commentaire audio, Anne Depetrini s'en tire haut la main. Sans aucun temps mort, notre interlocutrice enchaîne les anecdotes de tournage, sur la préparation, l'écriture du scénario tout en faisant d'inévitables compliments envers ses comédiens avec sincérité et générosité. Alors bien sûr, nous ne sommes pas en présence d'une immanquable leçon de cinéma (même si la réalisatrice nous cite le cinéma italien, François Truffaut, Billy Wilder), mais finalement ce genre de commentaire décomplexé, drôle et énergique est assez rare pour être signalé, et revoir le film avec les explications d'Anne Depetrini est finalement hautement recommandable.
Making of (27min01)
Comme le commentaire audio, ce making of va à 100 à l'heure et se laisse agréablement suivre. Aux nombreuses images du tournage et des coulisses se croisent les interviews de toute l'équipe du film, la réalisatrice Anne Depetrini reprenant d'ailleurs quelques anecdotes déjà entendues dans son commentaire audio. Elle y évoque l'origine de l'histoire, le caractère social du film et passe en revue l'intégralité de son casting, des premiers aux seconds rôles, tandis que ceux-ci présentent tour à tour leur personnage respectif. Si ce module n'échappe pas à la règle promotionnelle où tout le monde aime tout le monde, on serait pour une fois bien tenté de les croire et il serait dommage de bouder ce petit plaisir de 27 minutes.
Scènes coupées (4min52)
L'éditeur nous propose cinq petites séquences coupées très marrantes qui auraient tout aussi bien pu avoir leur place dans le métrage final. On y voit entre autre Djalil qui se voit refuser son aide par une Algérienne à l'hôpital (sous prétexte qu'l n’est pas un "vrai médecin"), tandis que sa mère (Biyouna) alors en CE2 découvre toute la complexité de la géographie française. Les autres séquences permettaient d'approfondir le quotidien des personnages incarnés par Alex Lutz, Marie-France Pisier, Jean-Luc Bideau et Fellag.
L'interactivité se clôt sur un inévitable bêtisier (3min21) ainsi qu'un lot conséquent de teasers (3min19) et la bande-annonce (1min59).
Bonus :
7/20
Commentaire audio de la réalisatrice Anne De Petrini
Pour son premier commentaire audio, Anne Depetrini s'en tire haut la main. Sans aucun temps mort, notre interlocutrice enchaîne les anecdotes de tournage, sur la préparation, l'écriture du scénario tout en faisant d'inévitables compliments envers ses comédiens avec sincérité et générosité. Alors bien sûr, nous ne sommes pas en présence d'une immanquable leçon de cinéma (même si la réalisatrice nous cite le cinéma italien, François Truffaut, Billy Wilder), mais finalement ce genre de commentaire décomplexé, drôle et énergique est assez rare pour être signalé, et revoir le film avec les explications d'Anne Depetrini est finalement hautement recommandable.
Making of (27min01)
Comme le commentaire audio, ce making of va à 100 à l'heure et se laisse agréablement suivre. Aux nombreuses images du tournage et des coulisses se croisent les interviews de toute l'équipe du film, la réalisatrice Anne Depetrini reprenant d'ailleurs quelques anecdotes déjà entendues dans son commentaire audio. Elle y évoque l'origine de l'histoire, le caractère social du film et passe en revue l'intégralité de son casting, des premiers aux seconds rôles, tandis que ceux-ci présentent tour à tour leur personnage respectif. Si ce module n'échappe pas à la règle promotionnelle où tout le monde aime tout le monde, on serait pour une fois bien tenté de les croire et il serait dommage de bouder ce petit plaisir de 27 minutes.
Scènes coupées (4min52)
L'éditeur nous propose cinq petites séquences coupées très marrantes qui auraient tout aussi bien pu avoir leur place dans le métrage final. On y voit entre autre Djalil qui se voit refuser son aide par une Algérienne à l'hôpital (sous prétexte qu'l n’est pas un "vrai médecin"), tandis que sa mère (Biyouna) alors en CE2 découvre toute la complexité de la géographie française. Les autres séquences permettaient d'approfondir le quotidien des personnages incarnés par Alex Lutz, Marie-France Pisier, Jean-Luc Bideau et Fellag.
L'interactivité se clôt sur un inévitable bêtisier (3min21) ainsi qu'un lot conséquent de teasers (3min19) et la bande-annonce (1min59).
Pour son premier commentaire audio, Anne Depetrini s'en tire haut la main. Sans aucun temps mort, notre interlocutrice enchaîne les anecdotes de tournage, sur la préparation, l'écriture du scénario tout en faisant d'inévitables compliments envers ses comédiens avec sincérité et générosité. Alors bien sûr, nous ne sommes pas en présence d'une immanquable leçon de cinéma (même si la réalisatrice nous cite le cinéma italien, François Truffaut, Billy Wilder), mais finalement ce genre de commentaire décomplexé, drôle et énergique est assez rare pour être signalé, et revoir le film avec les explications d'Anne Depetrini est finalement hautement recommandable.
Making of (27min01)
Comme le commentaire audio, ce making of va à 100 à l'heure et se laisse agréablement suivre. Aux nombreuses images du tournage et des coulisses se croisent les interviews de toute l'équipe du film, la réalisatrice Anne Depetrini reprenant d'ailleurs quelques anecdotes déjà entendues dans son commentaire audio. Elle y évoque l'origine de l'histoire, le caractère social du film et passe en revue l'intégralité de son casting, des premiers aux seconds rôles, tandis que ceux-ci présentent tour à tour leur personnage respectif. Si ce module n'échappe pas à la règle promotionnelle où tout le monde aime tout le monde, on serait pour une fois bien tenté de les croire et il serait dommage de bouder ce petit plaisir de 27 minutes.
Scènes coupées (4min52)
L'éditeur nous propose cinq petites séquences coupées très marrantes qui auraient tout aussi bien pu avoir leur place dans le métrage final. On y voit entre autre Djalil qui se voit refuser son aide par une Algérienne à l'hôpital (sous prétexte qu'l n’est pas un "vrai médecin"), tandis que sa mère (Biyouna) alors en CE2 découvre toute la complexité de la géographie française. Les autres séquences permettaient d'approfondir le quotidien des personnages incarnés par Alex Lutz, Marie-France Pisier, Jean-Luc Bideau et Fellag.
L'interactivité se clôt sur un inévitable bêtisier (3min21) ainsi qu'un lot conséquent de teasers (3min19) et la bande-annonce (1min59).