Image :
9/20
L’apport de la HD est certes anecdotique pour un film de ce genre mais offre néanmoins un report magnifique des séquences extérieures qui bénéficient pour le coup d’une belle clarté ainsi que d’un relief inattendu. Le transfert est propre, le piqué vif et la palette colorimétrique fringante. Cependant, tout n’est pas parfait et la définition s’amenuise sur les scènes en intérieur où les détails sont amoindris, les contrastes pas aussi appuyés et les gros plans légèrement troubles. Signalons à la 46ème minute une petite scène réalisée en dessin animés qui s’avère la plus belle de ce master livré dans un format 1.77. Un travail éditorial pointu à défaut d’être irréprochable.
Son :
9/20
L’éditeur propose deux mixages DTS HD Master Audio 5.1 laissant une très large place à la bande-originale particulièrement fracassante. Certes, l’ensemble ne brille pas par une grande subtilité et l’ensemble des enceintes a souvent du mal à suivre le rythme des cris, des morceaux musicaux endiablés (quasi-constants) et effets sonores assourdissants, mais le moins que l’on puisse dire, c’est que le spectateur aura bel et bien l’impression de se retrouver au beau milieu de ce bastringue. Notons que le film n’étant jamais sorti en France, il semble que l’éditeur ait jugé bon d’y intégrer une version française québécoise de qualité. Evidemment, cette piste se montre moins naturelle et ne respecte pas la musicalité de la langue anglaise qui ajoute un charme supplémentaire au film. Ces deux mixages déchaînés suffisent largement pour visionner le film.
Bonus :
4/20
Interviews (12min52)
Rupert Everett, Colin Firth, Russell Brand, Lena Headey, Gemma Arterton, Caterina Murino et Stephen Fry se plient au jeu de l’entretien promotionnel en parlant longuement de leur personnage respectif, des précédentes adaptations de la bande-dessinée d’origine des années 40, tout en insistant sur le fait qu’ils se sont bien amusés sur le tournage. Evidemment, si nous ne retenons ici rien d’intéressant, la bonne humeur est suffisamment communicative pour qu’on ne s’ennuie pas. Seul Colin Firth semble trouver le temps long et demeure soporifique.
Scènes coupées (16min11)
Certaines de ces séquences laissées sur le banc de montage arracheront bien quelques sourires notamment une petite parodie de Fight Club qui voit quelques étudiantes s’affronter dans les jardins du pensionnat. D’autres séquences mettent en scène Russell Brand et la prof de sport, ersatz de GI Jane, dont le rôle a été finalement écourté.
L’interactivité se clôt sur 2 clips vidéo (4min29 et 2min27), un bêtisier (5min42) et la bande-annonce du film en vf (1min44).
Rupert Everett, Colin Firth, Russell Brand, Lena Headey, Gemma Arterton, Caterina Murino et Stephen Fry se plient au jeu de l’entretien promotionnel en parlant longuement de leur personnage respectif, des précédentes adaptations de la bande-dessinée d’origine des années 40, tout en insistant sur le fait qu’ils se sont bien amusés sur le tournage. Evidemment, si nous ne retenons ici rien d’intéressant, la bonne humeur est suffisamment communicative pour qu’on ne s’ennuie pas. Seul Colin Firth semble trouver le temps long et demeure soporifique.
Scènes coupées (16min11)
Certaines de ces séquences laissées sur le banc de montage arracheront bien quelques sourires notamment une petite parodie de Fight Club qui voit quelques étudiantes s’affronter dans les jardins du pensionnat. D’autres séquences mettent en scène Russell Brand et la prof de sport, ersatz de GI Jane, dont le rôle a été finalement écourté.
L’interactivité se clôt sur 2 clips vidéo (4min29 et 2min27), un bêtisier (5min42) et la bande-annonce du film en vf (1min44).