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6/20
La Collection Hammer serait-elle une énième collection fauchée comme on en voit fleurir tous les ans dans les rayons Bonnes affaires des supermarchés culturels ? Que nenni ! Studio Canal ne se fiche pas de nous et offre aux cinq titres de la première vague des transferts de haute tenue.
Proposé dans un master chimique plus granuleux que les autres titres de la collection, Dr. Jekyll et Sister Hyde accuse d'un fourmillement constant aussi bien dû au dit grain qu'à la compression Mpeg-2 qui semble avoir des difficultés à le traiter. De même, le fait qu'une partie du récit se déroule dans les ruelles sombres et brumeuses des bas fonds populo n'arrange pas les choses. La palette colorimétrique n'a été que très légèrement réhaussée, les couleurs ternes prédominent, et finalement c'est bien mieux comme ça. Nous sommes dans le Londres victorien que diable !
Proposé dans un master chimique plus granuleux que les autres titres de la collection, Dr. Jekyll et Sister Hyde accuse d'un fourmillement constant aussi bien dû au dit grain qu'à la compression Mpeg-2 qui semble avoir des difficultés à le traiter. De même, le fait qu'une partie du récit se déroule dans les ruelles sombres et brumeuses des bas fonds populo n'arrange pas les choses. La palette colorimétrique n'a été que très légèrement réhaussée, les couleurs ternes prédominent, et finalement c'est bien mieux comme ça. Nous sommes dans le Londres victorien que diable !
Son :
7/20
Un choix entre deux pistes Mono 2.0, anglaise d'un côté français de l'autre, nous est proposé. Toutes deux restaurées et nettoyées, elles mettent parfaitement en avant les voix des comédiens afin que jamais celles-ci ne soient étouffées sous la partition de David Whitaker (qu'on retrouvera quelques années plus tard au générique de Harry un ami qui vous veut du bien et Lemming !).
Bonus :
1/20
C'est là où le bât blesse. Des films vendus à moins de 10€ et techniquement irréprochables mais dénués de tout supplément si ce n'est une (maigre) galerie de photos. Dommage.