Image :
7/20
La Collection Hammer serait-elle une énième collection fauchée comme on en voit fleurir tous les ans dans les rayons Bonnes affaires des supermarchés culturels ? Que nenni ! Studio Canal ne se fiche pas de notre gueule et offre aux cinq titres de la première vague des transferts de haute tenue.
Malgré un générique griffé et parsemé de points noirs, Fear in the Night (ou Sueur dans la nuit chez nous) réussit sans encombre son passage sur galette numérique. Présenté dans un transfert 16/9 au format 1.85 respecté (d'autres nous auraient jeté un recadrage en 1.77 qui aurait rempli le téléviseur), le film de Jimmy Sangster résiste plutôt bien au poids des années. A mille lieues du gothisme habituel de la maison et ses couleurs criardes, la photo d'Arthur Grant (l'autre grand chef op de la Hammer après Jack Asher - voir Blood from the Mummy's Tomb et Demons of the Mind, tous deux édités chez StudioCanal pour s'en convaincre) a tout de même fait l'objet d'un habile (et bienvenu) rehaussement colorimétique offrant une seconde jeunesse au film. Une restauration soignée soutenue par une jolie définition et une compression sans faille.
Malgré un générique griffé et parsemé de points noirs, Fear in the Night (ou Sueur dans la nuit chez nous) réussit sans encombre son passage sur galette numérique. Présenté dans un transfert 16/9 au format 1.85 respecté (d'autres nous auraient jeté un recadrage en 1.77 qui aurait rempli le téléviseur), le film de Jimmy Sangster résiste plutôt bien au poids des années. A mille lieues du gothisme habituel de la maison et ses couleurs criardes, la photo d'Arthur Grant (l'autre grand chef op de la Hammer après Jack Asher - voir Blood from the Mummy's Tomb et Demons of the Mind, tous deux édités chez StudioCanal pour s'en convaincre) a tout de même fait l'objet d'un habile (et bienvenu) rehaussement colorimétique offrant une seconde jeunesse au film. Une restauration soignée soutenue par une jolie définition et une compression sans faille.
Son :
7/20
StudioCanal propose deux pistes sonores Mono 2.0, la première en anglais et la seconde en français. Toutes deux ont été nettoyées de tout parasite sonore (un léger souffle s'immisce ici et là sans pour autant être envahissant) et bénéficient d'un mixage harmonieux réussissant à allier dialogues, effets sonores et musique sans que l'un prenne le dessus sur les autres. Le doublage francophone d'époque se distingue malgré tout de son homologue britannique de par son dynamisme et sa clareté.
Bonus :
1/20
C'est là où le bât blesse. Des films vendus à moins de 10€ et techniquement irréprochables mais dénués de tout supplément si ce n'est une (maigre) galerie de photos. Dommage.