Image :
7/20
Pas moins Deux chefs opérateurs et trois monteurs ont été engagés pour entourer John Woo afin de parvenir à mettre sur pied ce blockbuster budgétée à 80 millions. Ce sont ainsi à Lu Yue (Legend of Evil Lake, Shanghai Triad) et Zhang Li (La Légende du scorpion noir) qu'ont incombé d'éclairer ces épiques batailles au milieu de la poussière ou en pleine nuit sur les mers. Woo a beau citer Akira Kurosawa comme influence majeur de sa photographie, le résultat - brut et réaliste - va à l'opposé de ce qu'aurait composé le cinéaste nippon.
Sans être parfait, c'est un transfert solide que nous propose ici Metropolitan. Premier défaut, un léger manque de définition qui se fait tout autant ressentir lors des gros plans sur les visages de ces héros de guerre que lors des plans larges sur les batailles navales. L'image offre une belle saturation des couleurs bien que nous regrettions que celle-ci penche parfois un poil trop vers le vert (nous ne sommes pas dans la Matrice que diable !). Rien de rédhibitoire pour autant (la compression reste d'une grande discrétion), on se prend juste à se demander ce qu'aurait fait l'équipe de HK Vidéo sur un tel titre.
Sans être parfait, c'est un transfert solide que nous propose ici Metropolitan. Premier défaut, un léger manque de définition qui se fait tout autant ressentir lors des gros plans sur les visages de ces héros de guerre que lors des plans larges sur les batailles navales. L'image offre une belle saturation des couleurs bien que nous regrettions que celle-ci penche parfois un poil trop vers le vert (nous ne sommes pas dans la Matrice que diable !). Rien de rédhibitoire pour autant (la compression reste d'une grande discrétion), on se prend juste à se demander ce qu'aurait fait l'équipe de HK Vidéo sur un tel titre.
Son :
8/20
Oui, Les Trois Royaumes est assurément un blockbuster qui veut en mettre plein la vue et plein les oreilles. Cependant John Woo n'en oublie pas pour autant que ses personnages sont au centre de tout. Les deux mixages 5.1 (débit : 448 KBps) retranscrivent sans sourciller l'univers sonore tour à tour intimiste (souvent) et dans-ta-gueule (lors des séquences de bataille) du film. Deux pistes suffisamment efficaces pour contenter les possesseurs d'un home cinema mais pas suffisant pour en faire un disque de démo.
Bonus :
1/20
Peau de zob ! Est-ce le signe que nous aurons dans quelques mois droit à une édition spéciale comprenant (et pourquoi pas ?) la version longue ? Allez on y croit !