Image :
5/20
Il y a déjà un bout de temps que Fox a pris la décision de soigner ses Blu-ray au détriment du DVD et cette édition SD ne dément décidément pas la règle puisque l’image de Love et autres drogues déçoit par son manque d’éclat, son piqué médiocre et une définition convenue. Cela est d’autant plus visible sur les gros plans des comédiens, instables et parfois marqués par un léger grain, tandis que les arrière-plans fourmillement sensiblement. La gestion des contrastes est aléatoire, plus homogène sur les teintes chaudes alors que les flous ne sont pas rares sur les gammes froides, plus nombreuses avec notamment une omniprésence de nuances bleues. Evidemment, les détails s’en trouvent amoindris, le master demeure lisse et seule une colorimétrie parfois vive parvient à sauver les meubles.
Son :
8/20
Si ce n’est pas avec Love et autres drogues que vous risquez d’ennuyer votre voisinage, les mixages Dolby Digital 5.1 anglais, français et espagnols livrés par l’éditeur n’en demeurent pas moins énergiques et ce grâce à une bande-originale particulièrement brillante renvoyant à certains gros tubes des années 90 (le film se passe en 1996) comme la célèbre Macarena ou d’autres tubes de Garbage. C’est donc évidemment la musique qui est judicieusement et ardemment spatialisée sur l’ensemble des enceintes. Les arrières délivrent quelques ambiances naturelles et soutiennent fougueusement la bande-son, tandis que les voix sont solidement plantées sur l’enceinte centrale et que le caisson de basses se mêle frénétiquement à la partie. L’activité frontale est quant à elle limpide, ample et souvent percutante.
Bonus :
4/20
Scènes inédites (7min02)
Cette succession de saynètes laissées sur le banc de montage se révèlent fort sympathiques. Retenons entre autre les retrouvailles, évidemment très chaudes entre Jamie et Maggie après le retour de celle-ci du Canada, ainsi qu’une scène où Jamie emmène Bruce (Oliver Platt) aux urgences après qu’il ait fait une petite attaque. Jamie se rend alors compte du caractère singulier de ce service médical où les médecins sont plus occupés à draguer qu’à s’occuper des cas sérieux patientant dans la salle d’attente.
Love et autres drogues, discussion d’un acteur (7min42)
Il s’agit ici du module promotionnel où les comédiens principaux, le réalisateur Edward Zwick et le scénariste Charles Randolph passent la pommade à toute l’équipe. L’intérêt, si tant est qu’il y en ait véritablement un ici, réside dans la visible alchimie de Jake Gyllenhaal et Anne Hathaway dont les propos sincères s’élèvent nettement au-dessus du lot. Autrement cette succession d’images du tournage et de propos banals passent un peu au-dessus de la tête.
Vendre Love et autres drogues (3min05)
Ce court segment donne la parole à Jamie Reidy, auteur du roman "Hard Sell : The Evolution of a Viagra Salesman" qui a donné lieu à l’adaptation Love et autres drogues. Il nous explique ici les clés pour devenir le roi des représentants pharmaceutiques à l’instar du personnage de Jamie dans le film. Nous retrouvons une fois de plus l’ensemble des intervenants vus dans les autres modules pour des propos un poil plus captivants que ceux entendus précédemment.
S’ensuit deux entretiens avec Anne Hathaway (2min52) et Jake Gyllenhaal (3min27) qui présentent brièvement mais habilement leur personnage. L’intéractivité se clôt sur la bande-annonce (2min20).
Cette succession de saynètes laissées sur le banc de montage se révèlent fort sympathiques. Retenons entre autre les retrouvailles, évidemment très chaudes entre Jamie et Maggie après le retour de celle-ci du Canada, ainsi qu’une scène où Jamie emmène Bruce (Oliver Platt) aux urgences après qu’il ait fait une petite attaque. Jamie se rend alors compte du caractère singulier de ce service médical où les médecins sont plus occupés à draguer qu’à s’occuper des cas sérieux patientant dans la salle d’attente.
Love et autres drogues, discussion d’un acteur (7min42)
Il s’agit ici du module promotionnel où les comédiens principaux, le réalisateur Edward Zwick et le scénariste Charles Randolph passent la pommade à toute l’équipe. L’intérêt, si tant est qu’il y en ait véritablement un ici, réside dans la visible alchimie de Jake Gyllenhaal et Anne Hathaway dont les propos sincères s’élèvent nettement au-dessus du lot. Autrement cette succession d’images du tournage et de propos banals passent un peu au-dessus de la tête.
Vendre Love et autres drogues (3min05)
Ce court segment donne la parole à Jamie Reidy, auteur du roman "Hard Sell : The Evolution of a Viagra Salesman" qui a donné lieu à l’adaptation Love et autres drogues. Il nous explique ici les clés pour devenir le roi des représentants pharmaceutiques à l’instar du personnage de Jamie dans le film. Nous retrouvons une fois de plus l’ensemble des intervenants vus dans les autres modules pour des propos un poil plus captivants que ceux entendus précédemment.
S’ensuit deux entretiens avec Anne Hathaway (2min52) et Jake Gyllenhaal (3min27) qui présentent brièvement mais habilement leur personnage. L’intéractivité se clôt sur la bande-annonce (2min20).