FilmsActu.com
Once Upon A Time In Hollywood : le film le plus émouvant et triste de Tarantino - premiers avis
Le 22/05/2019 à 09:27Par Henry Swanson
Alors qu'il ne sort dans nos salles que le 9 août 2019, Once Upon A Time In Hollywood a été projeté à Cannes en compétition officielle.
Autant dire que la venue de Quentin Tarantino, Brad Pitt, Leonardo DiCaprio, Margot Robbie sur les marches du palais restera certainement comme l'un des évènements majeurs de cette édition 2019 de Cannes.
Pour son 9e film, le réalisateur de Pulp Fiction s'intéresse à l'année 1969. En 1969, la star de télévision Rick Dalton et le cascadeur Cliff Booth, sa doublure de longue date, poursuivent leurs carrières au sein d’une industrie qu’ils ne reconnaissent plus. Ils vont être amenée à croiser la route de Sharon Tate qui leur présentera Charles Manson.
Tarantino et son cast ont eu droit à une standing ovation de 7 minutes à la fin de la projection.
Les premiers retours annoncent le film le plus touchant, émotionnel et troublant de Tarantino. En voici quelques uns sans spoilers, le réalisateur ayant demandé aux journalistes et spectateurs de respecter les secrets du film jusqu'à sa sortie.
[TWEET id="1130912220676853760" author="Mehdi Omaïs"]
[TWEET id="1130887519598448641" author="Simon Riaux"]
[TWEET id="1130892940862251008" author="Julien Lada"]
[TWEET id="1130911429236801537" author="Renan Cros"]
CinemaTeaser : Tarantino signe ici son film le plus sentimental et, par conséquent, le plus triste. Il filme à la fois la fin d’une ère et la possibilité d’un espoir, la potentielle fin d’une amitié et son immortalité. Comme souvent, les plus belles déclarations d’amour tentent de se cacher derrière l’ironie et la bravade....On n’avait jamais vu le cinéma de Tarantino si ouvertement bouleversant.
Huffington Post : En fait, “Once Upon a Time in Hollywood” réunit la patte western de “Les Huits Salopards” et “Django Unchained”, l’humour noir de “Pulp Fiction” et la violence sanguinolente de “Kill Bill”. Difficile de décrire autrement cette oeuvre que certains trouveront sans doute “too much” ou décousue, mais on se dit que c’est sans doute à ça que ressemble l’intérieur de la tête de Tarantino.
Ecran Large : Pour la première fois, Quentin Tarantino émeut en profondeur à la faveur d'une rêverie mélancolique inattendue. Labyrinthe cinéphile, rêve Borgésien, et profession de foi dans le salut par la fiction, son nouveau film est une splendeur détrempée de larmes. 8/10
[TWEET id="1130901406758653952" author="Louis Lepron"]
[TWEET id="1130892940862251008" author="Julien Lada"]
[TWEET id="1130893032327393282" author="Yannick VELY"]
[TWEET id="1130906474484555777" author="Perrine Quennesson"]
[TWEET id="1130913437419220994" author="Louise Wessbecher"]
[TWEET id="1130940080216989696" author="Rotten Tomatoes"]
[TWEET id="1130897034783973376" author="CANAL+"]
[TWEET id="1130885155504185344" author="Festival de Cannes"]
