Image :
6/20
Le générique d’ouverture de 8 fois debout promet un beau master avec de merveilleuses couleurs et un relief très impressionnant. Seulement voilà, on déchante assez rapidement car la copie laisse souvent à désirer. Les scènes sombres se révèlent médiocres et marquées par un grain très prononcé, les noirs sont grumeleux et la netteté déçoit. Ce sont assurément les séquences diurnes qui s’en sortent le mieux avec une saturation honnête des couleurs ainsi qu’une clarté indéniable mais la définition manque cruellement d’homogénéité. Le teint des comédiens tire sur le rosé, la palette colorimétrique manque de naturel et même les arrière-plans ont tendance à trembloter. Le master semble néanmoins trouver un équilibre et les séquences de plage à la fin du film se révèlent être les plus fluides.
Son :
8/20
En dépit d’un léger manque de punch des dialogues sur la centrale, le mixage Dolby Digital 5.1 ne manque pas d’intérêt et propose même certaines ambiances latérales ponctuelles et marquantes. Qui veut dire film intimiste ne veut pas forcément dire une action axée uniquement sur la balance frontale et la musique est particulièrement bien spatialisée durant 1h40. La stéréo est également dynamique, bénéficie d’une large ouverture des enceintes et propose une meilleure restitution des dialogues que la Dolby Digital 5.1.
Bonus :
6/20
Making of (27min14)
Ce supplément propose quelques instantanés du tournage, sans aucun propos complémentaire ni entretiens avec les comédiens. Nous y voyons néanmoins le réalisateur à l’œuvre avec ses acteurs durant les répétitions ainsi qu’une équipe visiblement soudée. Ce joli aperçu de l’envers du décor permet entre autre de voir rapidement les petits métiers techniques trop souvent oubliés et qui apportent pourtant leur pierre à l’édifice complexe d’un tournage.
Julie chante chez Hey Hey My My (4min35)
8 fois debout a donné l’occasion à Julie Gayet de pousser la chansonnette. Ce court module présente la session d’enregistrement de la comédienne avec le groupe français de rock Hey Hey My My pour la belle chanson River of troubles entendue dans le film de Xabi Molia.
Une comédienne au travail (2min52)
Durant cette séquence, Julie Gayet offre au réalisateur ce qu’on appelle plus communément de la matière, c’est-à-dire que la comédienne joue une même scène sur plusieurs tons différents pour que le metteur en scène puisse faire son choix au moment du montage. Si ce segment demeure intéressant, on se demande pourquoi ces images n’ont pas été intégrées au making of.
Scène coupée (3min27)
Cette unique séquence rejetée au montage approfondissait un peu plus le personnage de Monroe (interprété par Christian Erickson) avec qui Julie partage la chambre clandestinement à l’hôpital. Les comédiens sont certes excellents mais un petit mot du réalisateur ou un carton d’introduction nous expliquant la raison de cette éviction n’aurait pas été de trop.
Ce supplément propose quelques instantanés du tournage, sans aucun propos complémentaire ni entretiens avec les comédiens. Nous y voyons néanmoins le réalisateur à l’œuvre avec ses acteurs durant les répétitions ainsi qu’une équipe visiblement soudée. Ce joli aperçu de l’envers du décor permet entre autre de voir rapidement les petits métiers techniques trop souvent oubliés et qui apportent pourtant leur pierre à l’édifice complexe d’un tournage.
Julie chante chez Hey Hey My My (4min35)
8 fois debout a donné l’occasion à Julie Gayet de pousser la chansonnette. Ce court module présente la session d’enregistrement de la comédienne avec le groupe français de rock Hey Hey My My pour la belle chanson River of troubles entendue dans le film de Xabi Molia.
Une comédienne au travail (2min52)
Durant cette séquence, Julie Gayet offre au réalisateur ce qu’on appelle plus communément de la matière, c’est-à-dire que la comédienne joue une même scène sur plusieurs tons différents pour que le metteur en scène puisse faire son choix au moment du montage. Si ce segment demeure intéressant, on se demande pourquoi ces images n’ont pas été intégrées au making of.
Scène coupée (3min27)
Cette unique séquence rejetée au montage approfondissait un peu plus le personnage de Monroe (interprété par Christian Erickson) avec qui Julie partage la chambre clandestinement à l’hôpital. Les comédiens sont certes excellents mais un petit mot du réalisateur ou un carton d’introduction nous expliquant la raison de cette éviction n’aurait pas été de trop.