Image :
8/20
Le transfert de Good Morning England est réalisé à partir d'un master impeccable et présente une très bonne définition ainsi qu'un piqué soigné à défaut d'être exceptionnel. Par chance, l'ensemble ne souffre pas de défaut de compression visible. La photographie du film est fidèlement restituée à travers un étalonnage irréprochable qui offre un parfait équilibre entre couleurs froides et chaudes (majoritaires). La gestion des contrastes est elle aussi très bonne, détail essentiel étant donné que la plus grande partie des scènes se situe de nuit et/ou en intérieur.
Son :
6/20
S'il y a bien quelque chose que l'on attend au tournant avec un film tel que Good Morning England, ce sont les pistes audio. Il y a de quoi être optimiste avec l'annonce de deux pistes Dolby Digital 5.1, anglais et français. Malheureusement, l'enthousiasme est rapidement tempéré à l'écoute de la piste originale anglaise, la plus attendue des deux. Celle-ci manque de façon flagrante de puissance et de basse et sa répartition laisse largement à désirer. On s'aperçoit pourtant en tendant l'oreille que les canaux arrières sont bel et bien sollicités, mais ils se font si discrets qu'ils n'apportent rien à l'ensenble. Les dialogues ne sont pas suffisamment mis en avant et les chansons manquent d'ampleur. Sur tous ces points, la piste française offre un petit mieux : le mixage et la répartition y sont meilleurs, et les morceaux ont davantage de punch tandis que les ambiances sont mieux gérées. Autrement dit, c'est vers une piste doublée qu'il faut se tourner pour profiter plus pleinement du film, et ce tout en gardant à l'esprit que celle-ci n'est pas parfaite. La déception est de taille.
Bonus :
4/20
Les bonus de cette édition simple de Good Morning England se résument à des scènes coupées et quelques bandes-annonces.
Les scènes coupées sont réparties en deux ensembles qui peuvent être visionnés soit indépendamment soit à la suite. Le réalisateur Richard Curtis prend la parole pendant deux bonnes minutes pour nous expliquer les raisons de ces coupures, visiblement ravi de pouvoir montrer ces scènes au public. La première séquence (9mns04) raconte le fiasco de Radio Sunshine, et présente ensuite la deuxième partie (3mns) qui est la scène principale de Francesca Longrigg, qui joue l'épouse de Kenneth Branagh. L'avantage de ce petit bonus est qu'il découle vraiment d'une volonté du réalisateur de nous faire partager de vrais moments inédits de son films et non de laisser à d'autres le soin de remplir le DVD de simples fins de plans anecdotiques comme c'est trop souvent le cas.
Les scènes coupées sont réparties en deux ensembles qui peuvent être visionnés soit indépendamment soit à la suite. Le réalisateur Richard Curtis prend la parole pendant deux bonnes minutes pour nous expliquer les raisons de ces coupures, visiblement ravi de pouvoir montrer ces scènes au public. La première séquence (9mns04) raconte le fiasco de Radio Sunshine, et présente ensuite la deuxième partie (3mns) qui est la scène principale de Francesca Longrigg, qui joue l'épouse de Kenneth Branagh. L'avantage de ce petit bonus est qu'il découle vraiment d'une volonté du réalisateur de nous faire partager de vrais moments inédits de son films et non de laisser à d'autres le soin de remplir le DVD de simples fins de plans anecdotiques comme c'est trop souvent le cas.