Echo
Le 15/09/2009 à 20:11Par Yann Rutledge
Notre avis
La mauvaise est qu'en bon élève de Lars Von Trier (producteur de Princesse), Morgenthaler se sent obligé de recourir maladroitement à des shock scares (pour le public fantasticophile) et un pathos (pour que le reste du public verse sa larme) ni habiles ni très utiles, l'histoire parvenant par elle-même à mêler mélancolie et hantise avec suffisamment d'agilité pour nous convaincre. Echo est la confirmation qu'Anders Morgenthaler ne manque pas de talent, mais bien de finesse.
(*) "pour aimer regarder un film porno, il faut soit être très stupide, soit réussir à faire abstraction du fait qu’il s’agisse d’êtres humains" affirmait-il à l'époque !